Qu’en est-il de l’offre des chaînes gratuites de la TNT en Outre-mer ? Un alignement avec la métropole devait être envisagé en 2010. 6 ans après, la députée réunionnaise demande au CSA de se pencher à nouveau sur la question.
Monique Orphée a rencontré, ce lundi 2 mai, Patrice Gélinet, membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel chargé de l’outre-mer pour évoquer le paysage audiovisuel ultramarin. Le 30 mars dernier, elle avait déjà interpellé la ministre de la culture et de la communication, Audrey Azoulay, au sujet du décalage dans la réception de la TNT entre la métropole et les Outre-mer.
La députée a donc formulé une demande de rapport à Mr Gélinet auprès du CSA. Elle souhaite que les possibilités d’une nouvelle extension des chaînes gratuites métropolitaines soient à nouveau étudiées. Un alignement qui devait être prévu en 2010, mais pour l’heure la situation n’a pas évolué.
Lors de l’entretien, il a aussi été question de favoriser le passage des chaînes en HD par la création d’un deuxième multiplexe, comme c’est le cas en hexagone. Cette création aurait dû être étudiée depuis 2010, mais là aussi rien n’a été fait.
Enfin, la rencontre a également été l’occasion d’évoquer le traitement accordé à l’outre-mer par les chaînes nationales du service public, et de fait le mécontentement qu’il suscite auprès des élus ultramarins et du CREFOM. Ils estiment que ces chaînes relaient une image souvent négative des territoires ultramarins.
La députée a donc formulé une demande de rapport à Mr Gélinet auprès du CSA. Elle souhaite que les possibilités d’une nouvelle extension des chaînes gratuites métropolitaines soient à nouveau étudiées. Un alignement qui devait être prévu en 2010, mais pour l’heure la situation n’a pas évolué.
Lors de l’entretien, il a aussi été question de favoriser le passage des chaînes en HD par la création d’un deuxième multiplexe, comme c’est le cas en hexagone. Cette création aurait dû être étudiée depuis 2010, mais là aussi rien n’a été fait.
Enfin, la rencontre a également été l’occasion d’évoquer le traitement accordé à l’outre-mer par les chaînes nationales du service public, et de fait le mécontentement qu’il suscite auprès des élus ultramarins et du CREFOM. Ils estiment que ces chaînes relaient une image souvent négative des territoires ultramarins.