A 1400 m d’altitude, les éleveurs sont de plus en plus inquiets, après neuf mois sans pluie.
Le niveau d’eau des retenues collinaires est au plus bas.
L’herbe habituellement abondante en janvier, se fait rare.
La sécheresse commence chaque année à se faire sentir en septembre dans les pâturages, mais elle disparaît généralement en décembre avec les grosses pluies.
Mais pas cette fois, sous le ciel gris, pas de pluie.
"Le problème, c’est qu’on n’a pas de stock pour 2017", dit un éleveur « Il n’y a rien qui pousse ".
Il met beaucoup d’espoir dans la pluie qui devrait arriver.
Faire monter de l’eau potable à cette hauteur coûterait 3 millions d’euros.
En images avec Jean-Marc Seguin.
L’herbe habituellement abondante en janvier, se fait rare.
La sécheresse commence chaque année à se faire sentir en septembre dans les pâturages, mais elle disparaît généralement en décembre avec les grosses pluies.
Mais pas cette fois, sous le ciel gris, pas de pluie.
"Le problème, c’est qu’on n’a pas de stock pour 2017", dit un éleveur « Il n’y a rien qui pousse ".
Il met beaucoup d’espoir dans la pluie qui devrait arriver.
Faire monter de l’eau potable à cette hauteur coûterait 3 millions d’euros.
En images avec Jean-Marc Seguin.