Dix-huit personnes passent actuellement leur niveau 1 de plongée. Un examen qui se prépare dans la piscine de Saint-Pierre où les évaluations ont commencé.
Ils se font des signes et révisent encore en préparant le matériel. "Comment signaler que tu manques d’air ? Que tu as froid ? Que tout va bien ?". Accompagnés de leur instructeur de plongée, dix-huit élèves se rappellent les signes indispensables pour pratiquer la plongée. Alors qu’une partie du groupe finalise sa formation, les autres élèves s’apprêtent eux à passer leur examen ce vendredi 26 février. Bouteilles sur le dos, ils revoient les bases avant de se jeter à l’eau.
"Ce premier niveau est une découverte de la plongée, explique Stéphane Salvat, moniteur fédéral. Ils vont acquérir toutes les aptitudes pour évoluer sous l’eau jusqu’à 20 mètres de profondeur".
Au fond de la piscine, les élèves réalisent plusieurs séries d’exercices. "Ils doivent vider leur masque, retirer leur gilet stabilisateur ou encore venir en aide à leur instructeur qui simule un problème d’air, explique Erwan Lefèvre, guide de palanqué. Cela nous permet d’évaluer leurs connaissances du matériel et leurs réactions sous l’eau".
Au milieu des bulles d’oxygène de la piscine, Fran remonte en surface avec son instructeur. "Je viens de lui couper l’air de sa bouteille, explique Nicolas. Cet exercice est important, car il faut réagir vite pour régler le problème sans paniquer". Fran avoue : "Ça fait vraiment bizarre".
"Vous allez d’abord plonger comme le canard", annonce au bord de la piscine, Jean-Marie Quedinet, guide de palanqué. "Vous devez vous immerger de manière droite dans l’eau". Les élèves exécutent. Feuille de notes en main, Jean-Marie lance la série d’exercices. "Ils devront aussi palmer sur des distances précises et s’immerger de plusieurs manières", poursuit-il.
"Ce premier niveau est une découverte de la plongée, explique Stéphane Salvat, moniteur fédéral. Ils vont acquérir toutes les aptitudes pour évoluer sous l’eau jusqu’à 20 mètres de profondeur".
La gestion du matériel
Les élèves préparent cet examen depuis plusieurs semaines. Ils ont participé à six séances de cours d’une heure et demie dans la piscine de Saint-Pierre. "J’ai encore du mal à vider mon masque sous l’eau, ça reste la chose la plus difficile à maîtriser pour moi", confie Valérie.Au fond de la piscine, les élèves réalisent plusieurs séries d’exercices. "Ils doivent vider leur masque, retirer leur gilet stabilisateur ou encore venir en aide à leur instructeur qui simule un problème d’air, explique Erwan Lefèvre, guide de palanqué. Cela nous permet d’évaluer leurs connaissances du matériel et leurs réactions sous l’eau".
Au milieu des bulles d’oxygène de la piscine, Fran remonte en surface avec son instructeur. "Je viens de lui couper l’air de sa bouteille, explique Nicolas. Cet exercice est important, car il faut réagir vite pour régler le problème sans paniquer". Fran avoue : "Ça fait vraiment bizarre".
L’aisance sous l’eau
De l’autre côté de la piscine de Saint-Pierre, l’autre groupe d’élèves est en pleine évaluation pour la partie "palmage". Équipés seulement de palmes, masque et tuba, les plongeurs sont notés sur leur aisance dans l’eau."Vous allez d’abord plonger comme le canard", annonce au bord de la piscine, Jean-Marie Quedinet, guide de palanqué. "Vous devez vous immerger de manière droite dans l’eau". Les élèves exécutent. Feuille de notes en main, Jean-Marie lance la série d’exercices. "Ils devront aussi palmer sur des distances précises et s’immerger de plusieurs manières", poursuit-il.