En visite officielle sur le territoire, la Ministre des Outre-mer a consacré quelques heures à la rencontre des acteurs de Miquelon-Langlade. Aménagement du port, gestion des déchets, ou encore ensablement du Goulet : les dossiers évoqués ont été nombreux.
La visite d'Annick Girardin à Miquelon s'est déroulée au pas de course. La ministre des Outre-mer tenait à se rendre sur place, mais elle n'a eu que quelques heures à consacrer aux acteurs locaux dans son agenda très chargé. En début d'après-midi, Annick Girardin a d'abord rencontré une délégation du Conseil municipal.
"Nous avons mis sur la table les dossiers habituels", explique le maire de la commune Danièle Gaspard. Parmi ces dossiers d'actualité : la demande de financement pour la mise au norme du bâtiment abritant l'école du socle. Un dossier auquel l'Etat devrait répondre favorablement selon le maire.
En revanche, pas de réponse concrète sur la question de l'aménagement du port de Miquelon-Langlade. "C'est un vaste sujet. Pour l'instant, on y songe, on pose des questions, mais on n'a pas encore de réponses", a précisé Danièle Gaspard. Les élus ont également souhaité aborder la problématique de la gestion des déchets.
Patric Caillet et Claude Leloche ont suivi la ministre des Outre-mer sur le terrain.
Face à ces nombreuses attentes, Annick Girardin a rappelé que cette année était idéale pour porter des projets et trouver des financements pour les concrétiser. Elle a rappelé les rendez-vous à venir : les Assises des Outre-mer, la négociation du Contrat de développement Etat/Collectivité et du Contrat de convergence entre l'Etat et chaque territoire d'outre-mer."Il y a le temps de l'urgence, a-t-elle déclaré. Comment et dans quelles conditions on peut permettre aux ferries de venir à Miquelon débarquer des voitures et du matériel. Et puis, à moyen terme, comment on repense le port de Miquelon-Langlade." Pas d'annonce donc mais avant de monter dans l'ATR, Annick Girardin a tenu à rassurer les acteurs de la commune : "il n'y a pas possibilité de faire du développement économique et touristique à Saint-Pierre sans penser à Miquelon-Langlade."
"Nous avons mis sur la table les dossiers habituels", explique le maire de la commune Danièle Gaspard. Parmi ces dossiers d'actualité : la demande de financement pour la mise au norme du bâtiment abritant l'école du socle. Un dossier auquel l'Etat devrait répondre favorablement selon le maire.
En revanche, pas de réponse concrète sur la question de l'aménagement du port de Miquelon-Langlade. "C'est un vaste sujet. Pour l'instant, on y songe, on pose des questions, mais on n'a pas encore de réponses", a précisé Danièle Gaspard. Les élus ont également souhaité aborder la problématique de la gestion des déchets.
Mettre fin au brûlage des déchets : un dossier prioritaire
L'arrêt du brûlage des déchets à ciel ouvert a également été présenté comme urgent par les membres de l'Association Agir Ensemble pour Miquelon-Langlade. La ministre des Outre-mer s'est entretenue avec les représentants de cette association de citoyens pendant une demi-heure. Leurs attentes sont nombreuses. Ils ont fait part de leur inquiétude concernant l'ensablement du chenal du Goulet. Ils ont aussi présenté leur vision de l'aménagement du port de la commune.Patric Caillet et Claude Leloche ont suivi la ministre des Outre-mer sur le terrain.
Face à ces nombreuses attentes, Annick Girardin a rappelé que cette année était idéale pour porter des projets et trouver des financements pour les concrétiser. Elle a rappelé les rendez-vous à venir : les Assises des Outre-mer, la négociation du Contrat de développement Etat/Collectivité et du Contrat de convergence entre l'Etat et chaque territoire d'outre-mer."Il y a le temps de l'urgence, a-t-elle déclaré. Comment et dans quelles conditions on peut permettre aux ferries de venir à Miquelon débarquer des voitures et du matériel. Et puis, à moyen terme, comment on repense le port de Miquelon-Langlade." Pas d'annonce donc mais avant de monter dans l'ATR, Annick Girardin a tenu à rassurer les acteurs de la commune : "il n'y a pas possibilité de faire du développement économique et touristique à Saint-Pierre sans penser à Miquelon-Langlade."