Un technicien océanographique québécois est arrivé dans l'archipel mercredi 31 janvier 2018 pour rapatrier 3 appareils canadiens égarés. Installé près des cotes du Nouveau Brunswick, ce matériel scientifique a pris le large pour se retrouver sur la cote de Miquelon il y a près d'un mois.
Ils ont parcouru plus de 600 kilomètres. Des instruments de mesure se sont échoués sur la cote de Miquelon. Ce matériel scientifique canadien était installé au large du Nouveau Brunswick. Son rôle : mesurer la salinité et la température de l’eau.
Sur les 5 instruments installés, 3 ont été repérés par Pêches et Océans Canada dans l’archipel de Saint-Pierre et Miquelon. Et ce grâce au signalement d'un habitant de Miquelon début janvier. Ce matériel d’une valeur de plus de 35 000 dollars fait partie intégrante d'un programme de recherche lancé il y a 20 ans dans la zone atlantique. Outre son coût, il a une grande valeur scientifique car les appareils ont collecté des données depuis octobre 2016. Perdre plus d'un an de données aurait pénalisé la dizaine de chercheurs impliqués dans ce programme de recherche financé par le Canada. Ils suivent l'évolution du réchauffement climatique et son impact sur l'écosystème du golfe du Saint-Laurent.
Les batteries lithium étant considérées comme matière dangereuse, pour assurer le retour de ces balises, un scientifique québécois a fait le déplacement dans l’archipel, il est arrivé ce mercredi 31 janvier 2018.
Reportage Kelly Pujar et Alain Rebmann.
Sur les 5 instruments installés, 3 ont été repérés par Pêches et Océans Canada dans l’archipel de Saint-Pierre et Miquelon. Et ce grâce au signalement d'un habitant de Miquelon début janvier. Ce matériel d’une valeur de plus de 35 000 dollars fait partie intégrante d'un programme de recherche lancé il y a 20 ans dans la zone atlantique. Outre son coût, il a une grande valeur scientifique car les appareils ont collecté des données depuis octobre 2016. Perdre plus d'un an de données aurait pénalisé la dizaine de chercheurs impliqués dans ce programme de recherche financé par le Canada. Ils suivent l'évolution du réchauffement climatique et son impact sur l'écosystème du golfe du Saint-Laurent.
Les batteries lithium étant considérées comme matière dangereuse, pour assurer le retour de ces balises, un scientifique québécois a fait le déplacement dans l’archipel, il est arrivé ce mercredi 31 janvier 2018.
Reportage Kelly Pujar et Alain Rebmann.