Le Canada a déposé vendredi 6 décembre 2013 son dossier visant à l’extension de son plateau continental. La zone de Saint-Pierre et Miquelon fait polémique.
Le gouvernement en a fait l'annonce hier, le Canada a déposé comme il l'avait annoncé son dossier d'extension de son plateau continental devant une commission spécialisée de l'ONU.
En attendant le volet "océan arctique", le dossier complet déposé par notre grand voisin ne concerne que ses prétentions d'extension en Atlantique. Un point sensible alors qu'après la lettre d'intention déposée par la Paris, l'archipel attend toujours le dépôt du dossier français de demande d'extension.
Et en parallèle du dépôt du Dossier du Canada devant l'ONU, notre grand voisin a cette fois mis noir sur blanc sa volonté d'étendre sa souveraineté sur le pôle Nord géographique. Avec l'objectif selon la ministre fédérale pour le Développement du Nord, Leona Aglukkaq, d'en "faire une région dynamique, prospère et sûre au sein d'un Canada fort et souverain".
Et la Confédération annonce qu'elle s'engage dans un processus scientifique d'envergure pour faire reconnaître ses droits géographiques.
La Canada ouvre donc une autre bataille diplomatique, mais cette fois avec comme adversaires la Russie et le Danemark, qui revendiquent eux aussi de mettre la main sur cette zone immense au milieu de l'Océan Arctique.
Le point avec Frédéric Dotte
En attendant le volet "océan arctique", le dossier complet déposé par notre grand voisin ne concerne que ses prétentions d'extension en Atlantique. Un point sensible alors qu'après la lettre d'intention déposée par la Paris, l'archipel attend toujours le dépôt du dossier français de demande d'extension.
Et en parallèle du dépôt du Dossier du Canada devant l'ONU, notre grand voisin a cette fois mis noir sur blanc sa volonté d'étendre sa souveraineté sur le pôle Nord géographique. Avec l'objectif selon la ministre fédérale pour le Développement du Nord, Leona Aglukkaq, d'en "faire une région dynamique, prospère et sûre au sein d'un Canada fort et souverain".
Et la Confédération annonce qu'elle s'engage dans un processus scientifique d'envergure pour faire reconnaître ses droits géographiques.
La Canada ouvre donc une autre bataille diplomatique, mais cette fois avec comme adversaires la Russie et le Danemark, qui revendiquent eux aussi de mettre la main sur cette zone immense au milieu de l'Océan Arctique.
Le point avec Frédéric Dotte
Plateau Continental : les canadiens tirent les premiers