En 2017, il sera possible de visiter l'archipel virtuellement. Ce service, proposé par Google, permet de se rendre dans des milliers d'endroits à travers le monde. Les clichés sont en cours de réalisation grâce à un matériel très sophistiqué.
L'idée vient du directeur du Comité régional du tourisme : permettre aux visiteurs du monde entier de découvrir Saint-Pierre et Miquelon grâce à Google Street View. "Il reste quelques petites îles à mettre en images, mais actuellement, beaucoup d'endroits sont référencés", explique Albéric de Malet. Et d'ajouter : "Il faut s'adapter à tous ces canaux de promotion très actuels. Aujourd'hui, les gens vont beaucoup sur Internet pour se faire une idée d'une destination qu'ils ont envie d'aller visiter."
En novembre dernier, Albéric de Malet a donc pris contact avec l'entreprise pour établir un protocole d'entente. Le Google Trekker, un appareil très sophistiqué, a été mis à disposition du territoire. Cette technologie de pointe se compose de 15 caméras. Elles prennent des photos en rafale toutes les 2,5 secondes et permettent ainsi de rendre compte de la réalité du terrain.
Pour réaliser tous ces clichés, il faut donc se promener dans les rues de l'archipel avec 24 kg sur le dos. Le prix à payer pour rendre le territoire accessible partout dans le monde sur ce service. Le comité régional du tourisme fait d'ailleurs appel aux volontaires. Les clichés, eux, ne seront pas visibles sur Internet avant 2017.
Le reportage de Mathias Raynaud et Yannick Télétchéa :
En novembre dernier, Albéric de Malet a donc pris contact avec l'entreprise pour établir un protocole d'entente. Le Google Trekker, un appareil très sophistiqué, a été mis à disposition du territoire. Cette technologie de pointe se compose de 15 caméras. Elles prennent des photos en rafale toutes les 2,5 secondes et permettent ainsi de rendre compte de la réalité du terrain.
Pour réaliser tous ces clichés, il faut donc se promener dans les rues de l'archipel avec 24 kg sur le dos. Le prix à payer pour rendre le territoire accessible partout dans le monde sur ce service. Le comité régional du tourisme fait d'ailleurs appel aux volontaires. Les clichés, eux, ne seront pas visibles sur Internet avant 2017.
Le reportage de Mathias Raynaud et Yannick Télétchéa :