La société de tir de Saint-Pierre propose une initiation pour les jeunes âgés de 13 à 20 ans. La discipline, habituellement réservée aux adultes, semble attirer un nouveau public.
Découvrir la discipline, appréhender l’outil et surtout adopter les bonnes positions. Ce sont les objectifs de la société de tir de Saint-Pierre. Le temps de cinq séances, une dizaine de jeunes bénéficient des conseils avisés de leurs moniteurs.
La sécurité est indispensable à la bonne pratique du ball trap. Avec un fusil entre les mains, les jeunes sont attentifs et respectent les consignes données minutieusement par l’équipe encadrante.
Au bout d’une heure et demie, les neuf participants ont tiré plus d’une centaine de cartouches. Bien que le maniement de l’arme soit la priorité du jour, certains parviennent à toucher des pigeons, ces cibles en argile. Une petite fierté pour la plupart des élèves.
Financés par l’Agence nationale du sport, ces cours de ball trap gratuits visent à attirer un nouveau public. Les deux dernières sessions sont programmées en début de semaine prochaine.
Reportage de Clémentine Baude et Agathe Tournoux :
Les jeunes (…) appréhendent l’outil et la discipline. Les moniteurs insistent sur les positions mais surtout sur la sécurité.
La sécurité avant tout
La sécurité est indispensable à la bonne pratique du ball trap. Avec un fusil entre les mains, les jeunes sont attentifs et respectent les consignes données minutieusement par l’équipe encadrante.
Le but, ce n’est pas qu’ils cassent des pigeons (…) Tant qu’ils n’auront pas le maniement et la sécurité en tête, le reste ce n’est pas important pour moi.
Au bout d’une heure et demie, les neuf participants ont tiré plus d’une centaine de cartouches. Bien que le maniement de l’arme soit la priorité du jour, certains parviennent à toucher des pigeons, ces cibles en argile. Une petite fierté pour la plupart des élèves.
Financés par l’Agence nationale du sport, ces cours de ball trap gratuits visent à attirer un nouveau public. Les deux dernières sessions sont programmées en début de semaine prochaine.
Reportage de Clémentine Baude et Agathe Tournoux :