L'objectif de l'exercice "Tsunami" grandeur nature était de tester les moyens en place, identifier les failles et préparer les populations. Evacuations d'écoles, de personnes grabataires dans un village à Wallis et réactions des Futuniens. L'heure est au bilan.
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« Pacific Wave 2018 », l'exercice d'alerte tsunami du Pacifique s'est déroulé à Wallis et Futuna lundi 8 octobre 2018. Une simulation grandeur nature qui a mobilisé les services de l'Administration Supérieure et du Territoire. 3 écoles primaires de Wallis ont joué le jeu. A Mala'etoli, dans l'une des écoles les plus exposées en bord de mer, il a fallu évacuer 207 élèves présents et 21 enseignants et personnel. 1 heure pour faire cela de Mala'etoli jusqu'au site de Mauga. Sofia Hoatau et Leone Vaitanoa ont suivi cet exercice:
Dans le district nord de Wallis à Hihifo, 2 sites de refuge pour la population en bord de mer ont été mis en place en cas d'alerte tsunami : l'école primaire de Fatima pour les villageois de Vaitupu et Vailala et le collège de Malae pour ceux de Alele et Malae. Les villageois de Vaitupu se sont bien organisés. Ils ont procédé à l'évacuation des personnes grabataires. Malia Fatima Maniulua et Mirna Kilama ont assisté à cette évacuation:
Futuna est la plus exposée des îles au risque de tremblement de terre et donc peut-être de tsunami, d'autant plus qu'Alofi se trouve au-dessus d'une faille. Gendarmerie, pompiers, chefs de service ont participé à la simulation. Ce n'est malheureusement pas le cas pour la population. Malia Fatima Takasi et Tuliano Talomafaia ont testé les réflexes:
Jean Francis Treffel, le préfet de Wallis et Futuna était l'invité du journal télévisée de Wallis et Futuna la 1ère lundi 8 octobre. Avec Lafaela Liufau, il dresse un bilan de cet exercice :
Dans le district nord de Wallis à Hihifo, 2 sites de refuge pour la population en bord de mer ont été mis en place en cas d'alerte tsunami : l'école primaire de Fatima pour les villageois de Vaitupu et Vailala et le collège de Malae pour ceux de Alele et Malae. Les villageois de Vaitupu se sont bien organisés. Ils ont procédé à l'évacuation des personnes grabataires. Malia Fatima Maniulua et Mirna Kilama ont assisté à cette évacuation:
Futuna est la plus exposée des îles au risque de tremblement de terre et donc peut-être de tsunami, d'autant plus qu'Alofi se trouve au-dessus d'une faille. Gendarmerie, pompiers, chefs de service ont participé à la simulation. Ce n'est malheureusement pas le cas pour la population. Malia Fatima Takasi et Tuliano Talomafaia ont testé les réflexes:
Jean Francis Treffel, le préfet de Wallis et Futuna était l'invité du journal télévisée de Wallis et Futuna la 1ère lundi 8 octobre. Avec Lafaela Liufau, il dresse un bilan de cet exercice :