Un léger mieux pour le consommateur de Wallis et Futuna. Selon l'observatoire des prix,le bouclier qualité prix est en baisse de 1,5% alors que l'inflation est en hausse de 4% sur le territoire. Cependant le coût de la vie reste cher et les leviers pour le faire baisser sont peu nombreux.
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L'Observatoire des prix s'est penché sur l'évolution du bouclier qualité et le coût de la vie sur le territoire. Réunis pendant une semaine à Wallis autour de Xavier Pelat, le président de l'observatoire des prix, commerçants, grossistes, transporteurs,autorités administratives se sont penchés sur les prix à Wallis. Premier constat la baisse du bouclier qualité prix en 2017 de 1% alors que l'inflation est à 4%. Le bouclier est une liste de plus de cinquante produits de première nécessité dont les prix sont bloqués après accord avec l'administration supérieure et les commerçants.
Une petite satisfaction car l'éventualité de voir une baisse significative des prix est faible. Petit marché, manque de concurrence, prix des transports, Xavier Pelat est réaliste.
Deux leviers possibles pour faire baisser les prix :
Le premier levier possible est que les commerçants baisse "un peu" leur marge. Pour ce qui est du coût des transports maritimes et aériens l'observatoire des prix se dit impuissant et ne peut que constater. Ce sont des secteurs, des marchés négociés "politiquement" avec des aides et subventions. La marge d'intervention est difficile.
Le second levier est de contrôler est de mieux organiser la distribution des produits locaux qui restent chers. Les légumes produits localement comme les tomates ou concombre sont entre 20 à 40% plus cher qu'un produit en métropole par exemple.
Xavier Pelat le président de l'observatoire des prix de Wallis et Futuna était l'invité du journal télévisé. Il répondait aux question d'Ana Vakalepu :
Un coût élevé de la vie qui impacte le quotidien des wallisiens et futuniens. Pas facile de joindre les deux bouts en fin de mois. Certains sont obligés de trouver des jobs d'appoint. Lotana Moefana et Mirna Kilama ont rencontré des wallisiens qui nous expliquent comment il gère leur budget:
Une petite satisfaction car l'éventualité de voir une baisse significative des prix est faible. Petit marché, manque de concurrence, prix des transports, Xavier Pelat est réaliste.
Deux leviers possibles pour faire baisser les prix :
Le premier levier possible est que les commerçants baisse "un peu" leur marge. Pour ce qui est du coût des transports maritimes et aériens l'observatoire des prix se dit impuissant et ne peut que constater. Ce sont des secteurs, des marchés négociés "politiquement" avec des aides et subventions. La marge d'intervention est difficile.
Le second levier est de contrôler est de mieux organiser la distribution des produits locaux qui restent chers. Les légumes produits localement comme les tomates ou concombre sont entre 20 à 40% plus cher qu'un produit en métropole par exemple.
Xavier Pelat le président de l'observatoire des prix de Wallis et Futuna était l'invité du journal télévisé. Il répondait aux question d'Ana Vakalepu :
Un coût élevé de la vie qui impacte le quotidien des wallisiens et futuniens. Pas facile de joindre les deux bouts en fin de mois. Certains sont obligés de trouver des jobs d'appoint. Lotana Moefana et Mirna Kilama ont rencontré des wallisiens qui nous expliquent comment il gère leur budget: