Tiphaine Gibelin est la directrice générale du comité organisateur:
« C’est un lieu assez protégé des vents et qui ne gêne pas la navigation. Donc on reste dans le lagon. On a assez de place pour nos 8 couloirs de course.La clé du succès c’est que tout est informatisé et que toutes les informations qu’on passe tout le monde les a en même temps donc ça permet de se rendre compte rapidement si on a du retard ou si on doit accélérer un peu les choses »
Trois ans pour organiser ces mondiaux. 2049 rameurs sont attendus en 8 jours de compétition à raison d’une cinquantaine de courses par jour. Sur le terrain 300 bénévoles travaillent au côtés de Mohea et du comité organisateur.
Mohea Taraufau est le responsable Ressources Humaines :
« C’est vraiment un gros travail de tous les jours, on est obligés de passer dans tous les départements pour voir si les bénévoles n’ont besoin de rien , s’ils sont ravitaillés en eau comme il faut , on a prévu aussi des rotations pour éviter qu’ils soient fatigués car les journées de compétitions peuvent être longues »
Les entraînements se poursuivent sur la baie de Taaone. Dernière session d'entraînement pour les rameurs Wallisiens et Futuniens demain mercredi (à Tahiti) , avant le début des courses Jeudi 19 juillet 2018 ( vendredi à Wallis).
Le reportage de Stéphanie Vili et Lagimaina Hoatau, nos envoyés spéciaux :