Sécurité avec la mise en place des panneaux d’alerte au tsunami sur les zones à risque à Wallis. Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un projet territorial et régional sur la prévention du risque tsunami. L'important étant d'informer un maximum la population
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La baie de Gahi fait partie des zones à risque en cas de tsunami. Une zone sensible qui est habitée. Falakika alikilau vit en bord de mer depuis son enfance. Les consignes de sécurité elle les connait déjà via les spots d’information à la télé et à la radio :« je ne suis pas contre l’installation de ces panneaux, mais la moindre des choses c’est d’informer les riverains surtout le propriétaire du terrain. A propos des mesures de sécurité, tout le monde est courant de ce qu’il faut faire, car on a tous la télé à la maison. Donc je pense que personne ne va s’arrêter pour lire le panneau».
Au total dix panneaux de signalisation ont été implantés sur la bande est du littoral de Wallis en suivant une carte déjà établie. Mais l’emplacement pose problème. Sur les 5 panneaux prévus dans le district sud, il y en a un au croisement vers la descente au wharf de Halalo. C'est une très bonne initiative, selon Seliko Uveakovi mais le panneau est mal placé. Ce lieu n’est pas très fréquenté, donc il fallait le mettre ailleurs. »
Ceci n’est que la première phase d’un projet territorial et régional sur la prévention au " risque de tsunami". Le dernier tsunami ayant affecté le territoire date du 30 septembre 2009 suite à un séisme au nord des îles Tonga. Selon l’IRD, l'Institut de Recherche pour le Développement les hauteurs des vagues à terre étaient comprises entre 1,6 et 4,3 mètres surtout sur Futuna. Fort heureusment seules des inondations côtières avaient affectées l'île
Alain Legallic est adjoint du chef de cabinet , en charge de la protection civile : « il est important que ces panneaux d’information et de sensibilisation au risque de tsunami soient préservés. La population de Wallis et Futuna est habituée à ce genre de phénomène climatique mais en tout état de cause, ce n’est peut être pas toujours le cas notamment pour les touristes qui pourraient venir sur l’île et aussi les papalagi qui viennent ici pour une période de transition professionnelle. Donc il est important que ces panneaux soient maintenus en état pour le bien être de la population. »
Prochaine étape, en complément de ces affichages, le déploiement de panneaux pour indiquer les voies d’évacuation vers des zones de refuges. Des lieux qui ont été identifiés dans le cadre du plan ORSEC.
Au total dix panneaux de signalisation ont été implantés sur la bande est du littoral de Wallis en suivant une carte déjà établie. Mais l’emplacement pose problème. Sur les 5 panneaux prévus dans le district sud, il y en a un au croisement vers la descente au wharf de Halalo. C'est une très bonne initiative, selon Seliko Uveakovi mais le panneau est mal placé. Ce lieu n’est pas très fréquenté, donc il fallait le mettre ailleurs. »
Ceci n’est que la première phase d’un projet territorial et régional sur la prévention au " risque de tsunami". Le dernier tsunami ayant affecté le territoire date du 30 septembre 2009 suite à un séisme au nord des îles Tonga. Selon l’IRD, l'Institut de Recherche pour le Développement les hauteurs des vagues à terre étaient comprises entre 1,6 et 4,3 mètres surtout sur Futuna. Fort heureusment seules des inondations côtières avaient affectées l'île
Alain Legallic est adjoint du chef de cabinet , en charge de la protection civile : « il est important que ces panneaux d’information et de sensibilisation au risque de tsunami soient préservés. La population de Wallis et Futuna est habituée à ce genre de phénomène climatique mais en tout état de cause, ce n’est peut être pas toujours le cas notamment pour les touristes qui pourraient venir sur l’île et aussi les papalagi qui viennent ici pour une période de transition professionnelle. Donc il est important que ces panneaux soient maintenus en état pour le bien être de la population. »
Prochaine étape, en complément de ces affichages, le déploiement de panneaux pour indiquer les voies d’évacuation vers des zones de refuges. Des lieux qui ont été identifiés dans le cadre du plan ORSEC.