Séance chargée au tribunal correctionnel aujourd’hui malgré le renvoi d'une affaire de proxénétisme aggravé sur mineurs. Dans une autre affaire, le procureur à requis six mois avec sursis plus mise à l’épreuve pour homicide involontaire contre un cycliste inconscient.
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Au tribunal correctionnel mardi 29 novembre, l’affaire de proxénétisme aggravé envers des mineurs a été renvoyée en juin de l’année prochaine.
En revanche de nombreux dossiers constituant le lot des affaires dites "traditionnelles" de la correctionnelle ont été jugées : des affaires de stupéfiants, de défaut de permis de conduire et d'atteintes sexuelles sur mineurs; mais surtout toute une série d’affaires de vols et de recel dont l’une d’une grosse ampleur.
A la barre sept prévenus sont accusés de vols et de recel de divers objets.Parmi eux, trois jeunes femmes et quatre hommes. En tout ce sont 27 cambriolages qui ont été perpétrés. Les faits jugés remontent à 2014 et 2015. Il s’agit de cambriolages réalisés sur la côte entre Mahina et Papara.
Face aux accusations les avocats des prévenus, plaident le désespoir et le désœuvrement. Mais parmi les sept accusés présents, deux sont déjà incarcérés. C’est d’ailleurs, l’un d’entre eux, considéré comme le cerveau de l’affaire qui a dénoncé ses complices et les receleurs.
Face à cette situation, le procureur a requit trois condamnations de prison dont une avec sursis, deux de travaux d’intérêt général et deux amendes. Le délibéré des juges a suivis l’avis du parquet.
Autre affaire, un jeune homme était jugé pour homicide involontaire. Les faits se sont passés le 8 mai 2016 à Arue. Le jeune homme âgé de 20 ans, rentre chez sa tante à vélo. Il est 2000h. Dans la nuit noire, son vélo n’ayant pas de lumière, il ne voit rien. Dans la descente d' Erima, il percute un homme de 59 ans.
Sous le choc, il lui demande simplement si tout va bien. Ivre et sous l’emprise de stupéfiants, l’homme lui répondra que oui. C’est plus tard, en se rendant à l’hôpital pour sa blessure à la tête, qu’il apprendra que l’homme est décédé. Un traumatise crânien, dû au choc avec le vélo. Le procureur à requis six mois d'emprisonnement avec sursis assortis d'une mise à l’épreuve contre le jeune homme.
En revanche de nombreux dossiers constituant le lot des affaires dites "traditionnelles" de la correctionnelle ont été jugées : des affaires de stupéfiants, de défaut de permis de conduire et d'atteintes sexuelles sur mineurs; mais surtout toute une série d’affaires de vols et de recel dont l’une d’une grosse ampleur.
A la barre sept prévenus sont accusés de vols et de recel de divers objets.Parmi eux, trois jeunes femmes et quatre hommes. En tout ce sont 27 cambriolages qui ont été perpétrés. Les faits jugés remontent à 2014 et 2015. Il s’agit de cambriolages réalisés sur la côte entre Mahina et Papara.
Face aux accusations les avocats des prévenus, plaident le désespoir et le désœuvrement. Mais parmi les sept accusés présents, deux sont déjà incarcérés. C’est d’ailleurs, l’un d’entre eux, considéré comme le cerveau de l’affaire qui a dénoncé ses complices et les receleurs.
Face à cette situation, le procureur a requit trois condamnations de prison dont une avec sursis, deux de travaux d’intérêt général et deux amendes. Le délibéré des juges a suivis l’avis du parquet.
Autre affaire, un jeune homme était jugé pour homicide involontaire. Les faits se sont passés le 8 mai 2016 à Arue. Le jeune homme âgé de 20 ans, rentre chez sa tante à vélo. Il est 2000h. Dans la nuit noire, son vélo n’ayant pas de lumière, il ne voit rien. Dans la descente d' Erima, il percute un homme de 59 ans.
Sous le choc, il lui demande simplement si tout va bien. Ivre et sous l’emprise de stupéfiants, l’homme lui répondra que oui. C’est plus tard, en se rendant à l’hôpital pour sa blessure à la tête, qu’il apprendra que l’homme est décédé. Un traumatise crânien, dû au choc avec le vélo. Le procureur à requis six mois d'emprisonnement avec sursis assortis d'une mise à l’épreuve contre le jeune homme.