Trente pêcheurs professionnels se relayent autour de l’île pour capturer des requins dans le cadre de la deuxième phase d’étude ciguatéra. L’objectif à terme est de savoir si la chair du requin est commercialisable.
Débutée en janvier, la première phase de l’étude avait été confiée seulement à quelques pécheurs de l’Ouest. Pour cette seconde phase de l’étude, le Comité Régional des Pêches (CRPEM) à mobilisé des pécheurs professionnels de toute l'île sur trois zones : de Etang-Salé à Sainte-Rose ; de Sainte-Rose à Saint-Denis ; de Saint-Denis à Saint-Leu. Avec pour chacune des zones un quota de pêches similaires.
Des prélèvements autour de l’île
Les trente pêcheurs se relayeront sur l’eau selon un planning. Les lundis et mardis sur la zone Nord Est, les mardis et mercredis sur la zone Sud et les mercredis et jeudis sur la zone Ouest. Lors de la première phase le quota de pêche fixé par le préfet s’élevait à 90. Sachant que 24 requins avaient été analysés précédemment ces professionnels devront repêcher 77 requins tigres et bouledogues. Au début de cette semaine deux requins tigres femelles ont été capturé à l’Etang-Salé et à Saint-Gilles. A chaque prise les pêcheurs seront rémunérés à hauteur de 4 euros par kilos dans la limite de 900 euros par requin.
Alimenter l’économie avec la pêche au requin
L’Agence pour la Recherche et la Valorisation Marine (ARVAM) effectuera l’analyse des requins pour cette étude qui s’intitule maintenant « valo requin ». Elle évaluera si les requins tigres et bouledogues sont porteurs de toxines, notamment la ciguatéra qui, en cas de forte intoxication, peut provoquer des paralysies, le coma et la mort. Cette étude, financée par l’état à hauteur de 160 000 euros, a un double objectif : étudier possibilité d’une commercialisation de la chair de requin et alimenter le modèle économique en y intégrant la pêche au requin.
Des prélèvements autour de l’île
Les trente pêcheurs se relayeront sur l’eau selon un planning. Les lundis et mardis sur la zone Nord Est, les mardis et mercredis sur la zone Sud et les mercredis et jeudis sur la zone Ouest. Lors de la première phase le quota de pêche fixé par le préfet s’élevait à 90. Sachant que 24 requins avaient été analysés précédemment ces professionnels devront repêcher 77 requins tigres et bouledogues. Au début de cette semaine deux requins tigres femelles ont été capturé à l’Etang-Salé et à Saint-Gilles. A chaque prise les pêcheurs seront rémunérés à hauteur de 4 euros par kilos dans la limite de 900 euros par requin.
Alimenter l’économie avec la pêche au requin
L’Agence pour la Recherche et la Valorisation Marine (ARVAM) effectuera l’analyse des requins pour cette étude qui s’intitule maintenant « valo requin ». Elle évaluera si les requins tigres et bouledogues sont porteurs de toxines, notamment la ciguatéra qui, en cas de forte intoxication, peut provoquer des paralysies, le coma et la mort. Cette étude, financée par l’état à hauteur de 160 000 euros, a un double objectif : étudier possibilité d’une commercialisation de la chair de requin et alimenter le modèle économique en y intégrant la pêche au requin.