Ce matin, plusieurs d'élèves ont dû être prises en charge au lycée Lumina Sophie, à Saint Laurent du Maroni. Selon des témoins, les jeunes, surtout des filles, auraient été victimes d’une crise d’hystérie… Crise de Baclou, selon certains élèves.
Il est environ 10 heures ce matin, quand une élève de terminale gestion finance se lève, en plein cours. Elle se met à trembler, à crier, et se jette par terre. Dans la foulée, plusieurs autres jeunes filles font de même. Apparemment, la même scène se reproduit, dans plusieurs classes de l’établissement.
Les pompiers ont été appelés par la direction, qui leur a signalé une cinquantaine de malaises. Sur place, ils ont effectivement pris en charge environ 80 élèves en crise.
Plusieurs jeunes sont sortis depuis de l’établissement, et ont témoigné. Le mot de crise de Baclou a bien évidemment été prononcé. Le parallèle a été rapidement fait avec ce qui s’était produit à l’internat du collège Gran Man Difou, à Maripasoula en mai 2016. Plusieurs jeunes filles, originaires des villages du Haut Maroni refusaient d’y retourner, persuadées qu’il y avait de mauvais esprits.
L’accès au lycée Lumina Sophie a été fermé. Des parents sont venus récupérer leur enfant. A midi, seules six jeunes étaient encore pris en charge par le Smur. Plus d’informations sur cette affaire dans notre édition de 13 heures, en radio.
Les pompiers ont été appelés par la direction, qui leur a signalé une cinquantaine de malaises. Sur place, ils ont effectivement pris en charge environ 80 élèves en crise.
Plusieurs jeunes sont sortis depuis de l’établissement, et ont témoigné. Le mot de crise de Baclou a bien évidemment été prononcé. Le parallèle a été rapidement fait avec ce qui s’était produit à l’internat du collège Gran Man Difou, à Maripasoula en mai 2016. Plusieurs jeunes filles, originaires des villages du Haut Maroni refusaient d’y retourner, persuadées qu’il y avait de mauvais esprits.
L’accès au lycée Lumina Sophie a été fermé. Des parents sont venus récupérer leur enfant. A midi, seules six jeunes étaient encore pris en charge par le Smur. Plus d’informations sur cette affaire dans notre édition de 13 heures, en radio.