Comment est la route, est-ce que ça passe ? La question reste d'actualité, entre automobilistes calédoniens. Ce mercredi matin, il était possible de rouler sans encombre de Koné jusqu'à l'agglomération de Nouméa, à condition d'être prudent au passage des nombreux obstacles. Voici un instantané de ces conditions de circulation. Mais en sachant bien qu'à travers la Calédonie, certains points praticables en début de journée ne l'étaient plus ce soir : la situation peut changer très vite !
>> Retrouvez ici un point routes évolutif
À Poya, au niveau de Népoui, à hauteur de l'accès à la mine Bernheim, de nombreuses chicanes marquaient un barrage de la CCAT.
À l'entrée de la tribu de Nepou, mieux valait ralentir.
Entre Poya et Bourail, présence de grands arbres au sol.
À La Foa, un crochet jusqu'à Sarraméa.
À Boulouparis, situation très fluctuante. Ce mercredi matin, on pouvait passer sur la portion de RT1 qui traverse la commune, mais on devait slalomer à l'entrée de la tribu de Ouitchambo.
À l'accès vers Ouinané, la chaussée était jonchée de débris de verre et de cailloux.
La gendarmerie et ses blindés étaient postés à cet endroit.
En toute fin de matinée, dans le Nord de Païta, pas de difficulté pour passer le col de la Pirogue.
Mais arrivé à Port-Laguerre, fort ralentissement.
Les forces de l'ordre et des engins de chantier intervenaient à l'échangeur routier qui marque la sortie Nord du village.
À partir de là, à la mi-journée du moins, les véhicules pouvaient atteindre sans difficulté l'entrée de Nouméa.