La 4ème édition des Journées Polynésiennes du Handicap se tient depuis le mardi 23 avril, au parc Aorai Tini Hau. L'occasion de se pencher sur le quotidien des personnes à mobilité réduite, et en particulier sur la pratique du sport.
Se déplacer dans les rues de Papeete n'est pas une sinécure pour les personnes à mobilité réduite, les PMR. Alors, quand il s'agit de pratiquer une activité physique, c'est pire. Jacques Bey-Rozet a 69 ans. Suite à un accident du travail survenu en 1995, il souffre d'un handicap physique et se déplace en fauteuil roulant.
Selon lui, " on ne donne pas les moyens aux handicapés de se doter d'engins indispensables à leur déplacement, à leur accessibilité. Et l'accessibilité c'est l'intégration économique et sociale d'un handicapé " . Quant à la pratique du sport, Jacques Bey-Rozet indique qu'"à chaque activité sportive correspond un matériel spécifique qui coûte cher ".
Selon lui, " on ne donne pas les moyens aux handicapés de se doter d'engins indispensables à leur déplacement, à leur accessibilité. Et l'accessibilité c'est l'intégration économique et sociale d'un handicapé " . Quant à la pratique du sport, Jacques Bey-Rozet indique qu'"à chaque activité sportive correspond un matériel spécifique qui coûte cher ".
Jacques Bey-Rozet " un handicapé qui ne peut pas se déplacer en autonomie, il est cuit "
Faire du sport un parcours du combattant pour les PMR