Les internautes de Guadeloupe vivent une expérience bien particulière. Des photographies licencieuses ont été diffusées sur une page Facebook crée pour l’occasion.
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La page « putries des Antilles » a été fermée quelques heures après, vers 22h30. Le temps de faire des dégâts.
Des photos d’adolescentes dénudées, suggestives, à caractère parfois pornographique ont été diffusées sur une page Facebook dédiée, mardi soir. Le temps de l’émoi et la brigade de gendarmerie ayant en charge ce genre de recherche a fait procéder à la fermeture de la page. Entretemps, de nombreuses réactions ont été entendues. Sur Trace FM notamment, des jeunes ont pris la parole. Très peu comparativement au nombre des personnes concernées par les photos. Parmi les réactions, des jeunes filles qui « assument », d’autres qui sont en colère. Selon notre confrère France Antilles : « L’une d’elle, 15 ans, a raconté que sa photo avait déjà tourné sur internet fin juin, début juillet, dans son collège, sur les téléphones… partout (…) ». Ce n’est donc pas la première fois qu’une telle manœuvre a lieu.
Des adolescentes non responsables ?
Si certaines voix se font entendre et affirment assumer leurs photos, la grande majorité des adolescentes se montre gênée. A cette période de la vie, nombreux sont celles qui ne réalisent pas encore le danger. Face à cette immaturité quelle réaction ? L’adolescence est l’âge où l’être veut s’affirmer, d’une façon ou d’une autre, les photographies suggestives ou érotiques sont un mode d’affirmation de soi. Le monde actuel est aussi celui de la fascination de l’image, de l’image de soi. Les nouvelles technologies aidant, celle-ci peut être malmenée, comme c’est ici le cas.
Impuni ?
Au moment où la page Facebook était encore en ligne, une émission radio avait lieu. L’auteur de la page a riposté « en direct », en plaçant de nouvelles photographies et en commentant l’émission. Il a affirmé ainsi se sentir invulnérable, ayant utilisé un proxi (une adresse relai) pour se connecter. Quoiqu’il en soit, une enquête est ouverte. Elle s’intéressera certainement aux autres plaintes déposées individuellement, pour les mêmes raisons. Car la publication de photos ou de données compromettantes sur internet arrive malheureusement beaucoup plus souvent qu’on ne le pense.
Des photos d’adolescentes dénudées, suggestives, à caractère parfois pornographique ont été diffusées sur une page Facebook dédiée, mardi soir. Le temps de l’émoi et la brigade de gendarmerie ayant en charge ce genre de recherche a fait procéder à la fermeture de la page. Entretemps, de nombreuses réactions ont été entendues. Sur Trace FM notamment, des jeunes ont pris la parole. Très peu comparativement au nombre des personnes concernées par les photos. Parmi les réactions, des jeunes filles qui « assument », d’autres qui sont en colère. Selon notre confrère France Antilles : « L’une d’elle, 15 ans, a raconté que sa photo avait déjà tourné sur internet fin juin, début juillet, dans son collège, sur les téléphones… partout (…) ». Ce n’est donc pas la première fois qu’une telle manœuvre a lieu.
Des adolescentes non responsables ?
Si certaines voix se font entendre et affirment assumer leurs photos, la grande majorité des adolescentes se montre gênée. A cette période de la vie, nombreux sont celles qui ne réalisent pas encore le danger. Face à cette immaturité quelle réaction ? L’adolescence est l’âge où l’être veut s’affirmer, d’une façon ou d’une autre, les photographies suggestives ou érotiques sont un mode d’affirmation de soi. Le monde actuel est aussi celui de la fascination de l’image, de l’image de soi. Les nouvelles technologies aidant, celle-ci peut être malmenée, comme c’est ici le cas.
Impuni ?
Au moment où la page Facebook était encore en ligne, une émission radio avait lieu. L’auteur de la page a riposté « en direct », en plaçant de nouvelles photographies et en commentant l’émission. Il a affirmé ainsi se sentir invulnérable, ayant utilisé un proxi (une adresse relai) pour se connecter. Quoiqu’il en soit, une enquête est ouverte. Elle s’intéressera certainement aux autres plaintes déposées individuellement, pour les mêmes raisons. Car la publication de photos ou de données compromettantes sur internet arrive malheureusement beaucoup plus souvent qu’on ne le pense.
Appel à la prudence
Cet épisode arrive quelques jours après un autre scandale touchant à la galaxie Facebook pour lequel il n’y a toujours aucune réponse de la part des dirigeants du réseau social. Celui-ci est en effet soupçonné d’un énorme « bug », qui a placé en clair des messages privés datant parfois de plusieurs années. Même si les amis de « Zuck », créateur de Facebook, nient le bug, aucun d’entre eux ne peut aujourd’hui expliquer ce qui s’est réellement passé. Un nouvel élément qui amène nombre d’internautes à être encore plus suspicieux quant aux réseaux sociaux qui se révèlent être de véritables armes de destruction…. d’individus.
A lire à ce sujet, l’article du + du Nouvel Obs.
Cet épisode arrive quelques jours après un autre scandale touchant à la galaxie Facebook pour lequel il n’y a toujours aucune réponse de la part des dirigeants du réseau social. Celui-ci est en effet soupçonné d’un énorme « bug », qui a placé en clair des messages privés datant parfois de plusieurs années. Même si les amis de « Zuck », créateur de Facebook, nient le bug, aucun d’entre eux ne peut aujourd’hui expliquer ce qui s’est réellement passé. Un nouvel élément qui amène nombre d’internautes à être encore plus suspicieux quant aux réseaux sociaux qui se révèlent être de véritables armes de destruction…. d’individus.
A lire à ce sujet, l’article du + du Nouvel Obs.