A l’occasion de la découverte du Centre national du cyclisme à Saint-Quentin-en-Yvelines, Grégory Baugé a fait le point sur sa reprise. Rien n’est encore décidé même s’il a déjà fait le point avec son entraîneur.
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Il y avait du beau monde à Saint-Quentin-en-Yvelines mardi pour découvrir le nouveau Centre national du cyclisme. Julie Bresset, championne olympique de VTT, Magalie Pottier, championne du monde de BMX, Kévin Sireau, médaille d’argent de vitesse par équipes aux JO et Grégory Baugé, vice-champion olympique de vitesse individuel et par équipe à Londres. L’endroit a été choisi pour accueillir le "pôle olympique" a déclaré le président de la Fédération Française de Cyclisme (FFC), David Lappatient. L’ouverture d’ici fin 2013 de ce nouveau centre ne signifie pas pour autant l’abandon du site de l’INSEP où la piste couverte de 166 mètres continuera à être utilisée.
Ce Centre était particulièrement attendu par les pistards, notamment après la désillusion olympique de cet été où ils ont été battus par des Britanniques mieux préparés."Pour nous, ce n’est que du bonus d’avoir Saint-Quentin-en-Yvelines après Roubaix (inauguré le mois dernier). C’est une piste de 250 mètres, on pourra travailler aussi différemment les aspects techniques et tactiques", a estimé le Guadeloupéen. L’ambiance survoltée de Londres pourra aussi être égalée puisque la piste de Saint-Quentin possède une capacité de 5000 spectateurs.
Les Mondiaux et Rio en point de mire
"L’installation a pour vocation de recevoir de grandes compétitions", a souligné le président de la FFC qui prévoit d’organiser les Championnats de France en janvier ou février 2014, quelques semaines après l’ouverture du site. "2016 pourrait être une bonne année pour les Championnats du monde", a-t-il ajouté. "C’est un gros projet", a apprécié Grégory Baugé. "Les premières actions se mettent en place, ça commence par là. Si l’on veut être les meilleurs, nous avons besoin de moyens".
Le champion du monde de vitesse individuelle en titre ne sait pas encore quand il fera sa reprise, mais la défense de son titre à Minsk (Biélorussie) en février prochain est dans un coin de sa tête. "Je suis qualifié d’office, pourquoi je n’irais pas" a-t-il interrogé les journalistes. Comme annoncé dans L’Equipe à la mi-septembre, il a rencontré et fait le plein avec son entraîneur Florian Rousseau. "On a vu avec Florian (Rousseau, son entraîneur) mais on n’a pas toutes les réponses. Il faut que tout se mette en place". En revanche, il a confirmé son désir d’aller à Rio en 2016 pour enfin décrocher l’or olympique. "J’ai le goût pour aller jusqu’à Rio", a-t-il assuré.
Ce Centre était particulièrement attendu par les pistards, notamment après la désillusion olympique de cet été où ils ont été battus par des Britanniques mieux préparés."Pour nous, ce n’est que du bonus d’avoir Saint-Quentin-en-Yvelines après Roubaix (inauguré le mois dernier). C’est une piste de 250 mètres, on pourra travailler aussi différemment les aspects techniques et tactiques", a estimé le Guadeloupéen. L’ambiance survoltée de Londres pourra aussi être égalée puisque la piste de Saint-Quentin possède une capacité de 5000 spectateurs.
Les Mondiaux et Rio en point de mire
"L’installation a pour vocation de recevoir de grandes compétitions", a souligné le président de la FFC qui prévoit d’organiser les Championnats de France en janvier ou février 2014, quelques semaines après l’ouverture du site. "2016 pourrait être une bonne année pour les Championnats du monde", a-t-il ajouté. "C’est un gros projet", a apprécié Grégory Baugé. "Les premières actions se mettent en place, ça commence par là. Si l’on veut être les meilleurs, nous avons besoin de moyens".
Le champion du monde de vitesse individuelle en titre ne sait pas encore quand il fera sa reprise, mais la défense de son titre à Minsk (Biélorussie) en février prochain est dans un coin de sa tête. "Je suis qualifié d’office, pourquoi je n’irais pas" a-t-il interrogé les journalistes. Comme annoncé dans L’Equipe à la mi-septembre, il a rencontré et fait le plein avec son entraîneur Florian Rousseau. "On a vu avec Florian (Rousseau, son entraîneur) mais on n’a pas toutes les réponses. Il faut que tout se mette en place". En revanche, il a confirmé son désir d’aller à Rio en 2016 pour enfin décrocher l’or olympique. "J’ai le goût pour aller jusqu’à Rio", a-t-il assuré.