Patrick Karam , ex-délégué interministériel pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer a renouvelé son soutien à François Fillon dans la course à la présidence de l’UMP.
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Il s’en était déjà ouvert dans les colonnes du Parisien le 16 octobre. Le choix de Patrick Karam pour la présidence de l’UMP, c’est François Fillon. Une préférence que l’ancien délégué interministériel à l’égalité des chances des Français d’Outre-mer justifie par un rejet des petites phrases malvenues de Jean-François Copé. Dans sa ligne de mire, les sorties sur le racisme anti blanc, ou les agressions supposées d’écoliers munis de pains aux chocolats par "des voyous qui leurs expliquent qu’on ne mange pas pendant le ramadan".
Des sorties de trop pour l’ex coordinateur des comités de soutien issus de la diversité pour Nicolas Sarkozy. La campagne présidentielle avait pourtant maintes fois été l’occasion de se faire écorcher les oreilles par les sorties des ténors de son propre parti.
"Le prochain président du parti doit montrer un visage ferme sur nos convictions et nos valeurs mais aussi humain, ouvert et rassembleur", a déclaré Patrick Karam dans une tribune translmise à l’AFP. "Il nous faut désormais choisir le dirigeant qui sera le mieux capable de conduire notre formation à gouverner à nouveau, que ce soit au niveau local ou national" et l’ancien Premier ministre est "aujourd’hui l’homme de la situation", a estimé le conseiller régional d’Ile-de-France.
Parmi les soutiens de poids de François Fillon, on retrouve également Marie-Luce Penchard, également guadeloupéenne et ancienne ministre des Outre-mer. La Réunionnaise Samia Badat, secrétaire nationale de l’UMP qui fut responsable de la campagne de Nicolas Sarkozy pour les ultramarins de l’Hexagone, ainsi que Nathalie Fanfan, également secrétaire nationale de l’UMP et candidate battue aux législatives à Paris se sont prononcées en faveur de Jean-François Copé.
Des sorties de trop pour l’ex coordinateur des comités de soutien issus de la diversité pour Nicolas Sarkozy. La campagne présidentielle avait pourtant maintes fois été l’occasion de se faire écorcher les oreilles par les sorties des ténors de son propre parti.
"Le prochain président du parti doit montrer un visage ferme sur nos convictions et nos valeurs mais aussi humain, ouvert et rassembleur", a déclaré Patrick Karam dans une tribune translmise à l’AFP. "Il nous faut désormais choisir le dirigeant qui sera le mieux capable de conduire notre formation à gouverner à nouveau, que ce soit au niveau local ou national" et l’ancien Premier ministre est "aujourd’hui l’homme de la situation", a estimé le conseiller régional d’Ile-de-France.
Parmi les soutiens de poids de François Fillon, on retrouve également Marie-Luce Penchard, également guadeloupéenne et ancienne ministre des Outre-mer. La Réunionnaise Samia Badat, secrétaire nationale de l’UMP qui fut responsable de la campagne de Nicolas Sarkozy pour les ultramarins de l’Hexagone, ainsi que Nathalie Fanfan, également secrétaire nationale de l’UMP et candidate battue aux législatives à Paris se sont prononcées en faveur de Jean-François Copé.