En Guadeloupe la fête de la Diwali est célébrée dans une large ouverture vers le grand public. C’était à Petit-Canal et la fête spirituelle a trouvé son espace lumineux.
La Diwali, c’est la fête des lumières, celle qui célèbre la victoire des lumières sur les ténèbres ; c’est la fête traditionnelle qui intervient entre octobre et novembre, au moment de la nouvelle lune. Cette année, celle-ci apparaîtra dans notre ciel la nuit du 13 novembre, celle de mardi à mercredi. Dès samedi et dimanche, les divinités ont été célébrées à Petit-Canal, dans le respect du rite.
C’est l’association Gopio qui est à l’origine de l’élan donné à la fête de la Diwali cette année, à Duval, Petit-Canal. Il s’agit aussi d’informer les plus jeunes, d’un rite ancestral important, pas uniquement pratiqué par les personnes d’origine indienne. Il semble qu’il y a en ce moment en Guadeloupe une tendance générale au retour vers les pratiques anciennes, en matière de croyances. Nadine, jeune guadeloupéenne d’origine indienne, participe à la Diwali 202 : "C’est important pour nous de vivre et de contribuer à développer cette tradition. Mais il ne faut pas oublier que l’Hindouïsme n’est pas une religion, c’est une philosophie, une façon de vivre. Nous partageons cela avec tous ceux qui veulent".
D’autres jeunes, pratiquent ce mode de vie et affirment bien s’y trouver : "l’Hindouïsme comprend des rites spirituels, comme la Diwali, c’est vrai. Mais ce n’est pas tout. Nous pratiquons aussi la méditation, le yoga… nous avons nos sons et nos chansons ; notre nourriture est aussi particulière. Bref ! C’est un art de vivre que nous proposons".
Vivacité guadeloupéenne
C’est l’association Gopio qui est à l’origine de l’élan donné à la fête de la Diwali cette année, à Duval, Petit-Canal. Il s’agit aussi d’informer les plus jeunes, d’un rite ancestral important, pas uniquement pratiqué par les personnes d’origine indienne. Il semble qu’il y a en ce moment en Guadeloupe une tendance générale au retour vers les pratiques anciennes, en matière de croyances. Nadine, jeune guadeloupéenne d’origine indienne, participe à la Diwali 202 : "C’est important pour nous de vivre et de contribuer à développer cette tradition. Mais il ne faut pas oublier que l’Hindouïsme n’est pas une religion, c’est une philosophie, une façon de vivre. Nous partageons cela avec tous ceux qui veulent". D’autres jeunes, pratiquent ce mode de vie et affirment bien s’y trouver : "l’Hindouïsme comprend des rites spirituels, comme la Diwali, c’est vrai. Mais ce n’est pas tout. Nous pratiquons aussi la méditation, le yoga… nous avons nos sons et nos chansons ; notre nourriture est aussi particulière. Bref ! C’est un art de vivre que nous proposons".