La cité des Capitaines est dénoncée comme dangereuse par ses propres habitants, ses voisins et ses visiteurs. Il est vrai qu'un climat très particulier y règne.
Le phénomène n'est pas nouveau, il accompagne en général le développement d'une région. L'insécurité est liée au développement d'un pays, plus celui-ci s'aggrandit et se modernise et plus les maux de la civilisation l'accompagnent. Malheureusement, cela est aussi vrai en Guadeloupe
La réputation de Pointe-à-Pitre, des Abymes, mais aussi d’autres communes de Guadeloupe, souffre d’une image pas très rassurante. Le sentiment d’insécurité est de plus en plus prégnant. Les agressions sont légions et les victimes ne déposent pas forcément plainte. Cela s’explique par le fait qu’elles pensent que cela ne sert plus à rien, puisque les méfaits sont toujours plus nombreux et que les victimes sont rarement retrouvées et punies ; cela s’explique aussi par la peur qu’éprouvent des personnes fragilisées par les agressions dont elles sont victimes.
Chaque jour qui passe, un cambriolage, une intimidation, une agression, une menace. Le quotidien des habitants des Capitaines à Grand-Camp, Abymes devient insoutenable. A tel point que beaucoup d’entre eux ont choisi de délaisser le lieu.
Les cambriolages sont pratique courante. L’un des derniers en date, est celui d’un climatiseur volé, alors même qu’il était en marche et que ses propriétaires étaient dans leur appartement.
Des agressions en nombre
La réputation de Pointe-à-Pitre, des Abymes, mais aussi d’autres communes de Guadeloupe, souffre d’une image pas très rassurante. Le sentiment d’insécurité est de plus en plus prégnant. Les agressions sont légions et les victimes ne déposent pas forcément plainte. Cela s’explique par le fait qu’elles pensent que cela ne sert plus à rien, puisque les méfaits sont toujours plus nombreux et que les victimes sont rarement retrouvées et punies ; cela s’explique aussi par la peur qu’éprouvent des personnes fragilisées par les agressions dont elles sont victimes. Les habitants témoignent peut-être plus facilement en radio. Avec ce témoignage, un habitant des Capitaines, Grand-Camp,nous livre la façon de fonctionner des voleurs. Il est interrogé par Chantal Horn :
Les "Capitaines", zone d'insécurité permanente
Alors que le gouvernement vient de décider de placer la région Pointe-à-Pitre/Abymes en zone de sécurité prioritaire, l’insécurité continue à faire des ravages. Exemple avec la cité des « Capitaines », à Grand-Camp, Abymes.Chaque jour qui passe, un cambriolage, une intimidation, une agression, une menace. Le quotidien des habitants des Capitaines à Grand-Camp, Abymes devient insoutenable. A tel point que beaucoup d’entre eux ont choisi de délaisser le lieu.
Les cambriolages sont pratique courante. L’un des derniers en date, est celui d’un climatiseur volé, alors même qu’il était en marche et que ses propriétaires étaient dans leur appartement.
Lorsque Jérôme Boecasse a fait son reportage, personne n'a voulu témoigner, de peur de représailles. Regardez :
Témoignages sur Facebook
Sur la fanpage Guadeloupe1ere officiel, des témoignages ont été laissés par les internautes sur le problème de l'insécurité qui règne aux Capitaines. En voici quelques-uns :- "il fo arrété avec grand-camp"
- "ce son les gens mm ki abite la ki mettent la cité comme sa"
- "ji es vécu et travailler se sont certaines des gens ki abite la ki casse l'ascenceur nen parlons mm pa des prospectuse kil jetent par terre devant les boite au lettre lorskil ne les veule pas"
- "sil non pa le temp d'arriver chez eux il pisse dans lascenceur, il jetten leur poubelle par leur balcon il on un meuble kil ne veule plu aller op !! par le balcon et on se fou de ceux ki passe en bas et on se fou des femmes ki fon le menage en dessous"