Selon un sondage Qualistat, 24% des Guadeloupéens feraient confiance à Ary Chalus pour construire l’avenir de la Guadeloupe. 11% à Jacques Gillot et 11% à Victorin Lurel.
La société Qualistat a réalisé un sondage auprès de 503 Guadeloupéens, avec deux thèmes essentiels : la popularité et la confiance envers les politiques. C’est en règle générale Ary Chalus qui sort grand vainqueur de ce sondage, même si la personnalité politique qui vient d’abord en tête, est Victorin Lurel.
34% des Guadeloupéens disent apprécier l’action politique d’Ary Chalus. La côte de confiance du député/maire de Baie-Mahault grimpe de 6 points. La surprise vient du fait que Jacques Gillot précède –de peu- Victorin Lurel, quant à la même côte de confiance, avec 11 points pour chacun.
Le chômage et l’emploi restent les préoccupations majeures des Guadeloupéens, juste devant l’insécurité. En toute dernière position, l’évolution institutionnelle ne représente que 5% d’intérêt pour les personnes interrogées.
Selon le sondage de Qualistat, il n’y a que 5% de la population qui se dit défavorable à une consultation quant à l’évolution institutionnelle. Une immense majorité se prononce donc pour un référendum sur une évolution statutaire.
Des résultats qui ne laisseront pas indifférente la classe politique.
Ary Chalus, bonne confiance
34% des Guadeloupéens disent apprécier l’action politique d’Ary Chalus. La côte de confiance du député/maire de Baie-Mahault grimpe de 6 points. La surprise vient du fait que Jacques Gillot précède –de peu- Victorin Lurel, quant à la même côte de confiance, avec 11 points pour chacun.
Le chômage, grand problème
Le chômage et l’emploi restent les préoccupations majeures des Guadeloupéens, juste devant l’insécurité. En toute dernière position, l’évolution institutionnelle ne représente que 5% d’intérêt pour les personnes interrogées.
Evolution institutionnelle
Selon le sondage de Qualistat, il n’y a que 5% de la population qui se dit défavorable à une consultation quant à l’évolution institutionnelle. Une immense majorité se prononce donc pour un référendum sur une évolution statutaire. Des résultats qui ne laisseront pas indifférente la classe politique.