La gestion de l’UAG montrée du doigt

uag
Les anciens présidents de l’UAG, Pascal Saffache, Alain Arconte et Georges Virassamy sont concernés par le rapport de la Cour Régionale des Comptes qui pointe leur gestion. Une nouvelle publicité négative.

Contre publicité

Alors que l’Université des Antilles et de la Guyane a été désignée il y a quelques semaines seulement comme l’une des plus mauvaises universités de France, une nouvelle publicité pour le moins négative, touche l’UAG. Cette fois-ci, il s’agit du rapport de la cour régionale des comptes, pour la période 2005/ 2010.


Gestion…particulière

Avec 76 pages, le rapport de la cour des comptes met en exergue de très nombreux disfonctionnements, comme celui des heures complémentaires des enseignants qui, au total s’élèvent à plus de 2 millions d’euros, payées sans contrôle. Le même rapport note aussi plus de 400 pièces justificatives avec anomalies… C’est la gestion administrative et financière de l’UAG qui est ici dénoncée.


Une université toute jeune

Quoiqu'il en soit, l'intérêt de l'Université des Antilles et de la Guyane est indéniable, la qualité de ses enseignements également. Les critiques effectuées à l'encontre de l'UAG ne mettent en aucune façon en cause la qualité de ses chercheurs et la place de choix que cette université occupe malgré tout, dans la Caraïbe et au-delà, en matière de recherche et d'enseignement. L'insuffisance des moyens dont dispose l'UAG est probablement l'explication des carences qui sont pointées. 
Regardez l’analyse d’Eric Stimpling, il est interrogé par Eric Rayapin :