La coupe en décembre
Que sont devenus les bambous, situés sur la zone du Parc National de la Guadeloupe ? Ils ont fait l’objet de plusieurs opérations de coupe, depuis le mois de décembre. Et une partie de ces bambous a été mise à disposition des artisans pour la fabrication de meubles ou d’objets d’art.
Mais le bambou nous offre de nombreuses autres possibilités. Le CIRAD (Centre de recherche agronomique pour le développement) a ainsi testé ce bambou broyé, en culture d’ananas. Et les résultats sont concluants selon Eric Gros, chargé de mission agricole au Parc National :
Bambou broyé
Valoriser la richesse
La matière végétale que représente le bambou, peut aussi être valorisée dans l’agriculture, et notamment sous forme de broyat, pour « pailler » les cultures : le paillage consiste à couvrir le sol pour éviter la pousse des mauvaises herbes.
Le Parc ne doit pas être le seul fournisseur de cette matière première : le bambou est présent partout. Voici ce que nous en dit Eric Gros, chargé de mission agricole au Parc National :
Après le broyage du bambou