Une personne atteinte d'une forme sévère du chikungunya est morte à Saint-Martin. Toutefois les autorités considèrent ce décès comme étant seulement « indirectement lié » au virus.
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La victime de ce vendredi dans l’île du nord souffrait également d'autres pathologies. A Saint-Martin l'épidémie est très active avec 490 cas suspects depuis son début.
Depuis le premier cas, 76 autres attendent les résultats de leurs analyses. En tout huit communes de la Guadeloupe sont concernées. Elles sont situées respectivement sur l'agglomération pointoise, la Grande-Terre, le nord Basse-Terre et la côte au vent.
Chacun peut agir sur les moustiques responsables transmettant le chikungunya. On peut lutter contre leur prolifération en appliquant les conseils déjà prodigués depuis de nombreuses années à propos de la dengue car c'est principalement le même moustique, l'Aedes aegypti, qui est impliqué.
Un nombre de cas croissant en Guadeloupe
Chez nous, le nombre de personnes touchées ne cesse d'augmenter, notamment à Baie-Mahault avec un foyer non maîtrisé. Selon le dernier bulletin publié par l'Agence Régionale de Santé (Ars) et l'institut de veille sanitaire, 65% des cas biologiquement probables ou confirmés résident sur la commune de Baie-Mahault, premier foyer de transmission locale identifié et toujours actif à ce jour.Depuis le premier cas, 76 autres attendent les résultats de leurs analyses. En tout huit communes de la Guadeloupe sont concernées. Elles sont situées respectivement sur l'agglomération pointoise, la Grande-Terre, le nord Basse-Terre et la côte au vent.
Vigilance et bons réflexes
Notre département est placé en Phase 2A, c’est à dire une transmission autochtone modérée.Chacun peut agir sur les moustiques responsables transmettant le chikungunya. On peut lutter contre leur prolifération en appliquant les conseils déjà prodigués depuis de nombreuses années à propos de la dengue car c'est principalement le même moustique, l'Aedes aegypti, qui est impliqué.