"Gambi G", leader de "Chien lari" accusé de viol, de proxénitisme et de menaces sur mineures. Il avait un salon de "massages" avec son frère Pascal Laurent, à Jarry. Tous les 2 passent devant les Assises de Basse-Terre jusqu'à mercredi.
Pascal et Jimmy Laurent avaient un salon de beauté à Jarry, dans lequel ils violaient leurs employées. Parmi eux, l’un des leaders du groupe « Chyen lari ». Ils envoyaient ensuite leurs victimes en maisons closes en Allemagne. Leur procès est ouvert aujourd’hui devant les assises. Il durera 2 jours.
Jimmy Laurent, « Gambi G. » était l’un des leaders du groupe « Chyen lari ». Il se retrouve sur le banc des accusés à la cour d’assises de Basse-Terre, en compagnie de son frère Laurent. Tous deux sont accusés de viol, aggravé de proxénétisme, mais aussi menaces sur une mineure.
Le drame se joue à Jarry où les 2 frères avaient un salon de « massages » et d’esthétique. Les accusés sont désignés comme obligeant leurs employés à assouvir leurs besoins sexuels. 3 jeunes femmes ont porté plainte contre eux et dénoncent leurs pratiques pour le moins scabreuses, mettant en cause les 2 frères aux pratiques sexuelles perverties. Les jeunes filles affirment en effet que Jimmy et Pascal Laurent les obligeaient à pratiquer le sado-masochisme.
Le verdict pour les accusations concernant le salon d’esthétique sera rendu mercredi.
Ecoutez l'analyse de Gilbert Pincemail :
Jimmy Laurent, « Gambi G. » était l’un des leaders du groupe « Chyen lari ». Il se retrouve sur le banc des accusés à la cour d’assises de Basse-Terre, en compagnie de son frère Laurent. Tous deux sont accusés de viol, aggravé de proxénétisme, mais aussi menaces sur une mineure.
Sado-maso
Le drame se joue à Jarry où les 2 frères avaient un salon de « massages » et d’esthétique. Les accusés sont désignés comme obligeant leurs employés à assouvir leurs besoins sexuels. 3 jeunes femmes ont porté plainte contre eux et dénoncent leurs pratiques pour le moins scabreuses, mettant en cause les 2 frères aux pratiques sexuelles perverties. Les jeunes filles affirment en effet que Jimmy et Pascal Laurent les obligeaient à pratiquer le sado-masochisme.Repris de justice
Même si, pour leur défense, les 2 hommes affirment qu’ils ont eu des relations sexuelles « consenties », sauf avec une mineure de … 14 ans, ils sont bien connus des services de police et de la justice. En effet, Pascal Laurent est déjà connu pour des faits de viols et de proxénitisme et son frère a déjà été inquiété pour violence avec arme.Sur fond de drogue ?
La drogue n’est peut-être pas absente de ce dossier non plus, puisque « Gambi G » a déjà été confondu avec des substances interdites et plus encore, puisqu’il est bel et bien question de trafic de cocaïne.Le verdict pour les accusations concernant le salon d’esthétique sera rendu mercredi.
Ecoutez l'analyse de Gilbert Pincemail :
Assises viols et agressions