Les employés de la plantation Bois debout dénoncent leurs conditions de travail depuis plusieurs semaines. Ils évoquent notamment le fait de ne pas y être en sécurité. Ce matin ils sont passés à la vitesse supérieure et ont bloqué le port autonome de Jarry.
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Selon les employés de l'exploitation Bois debout de Capesterre Belle- Eau, pas moins de 25 salariés y auraient trouvé la mort en une vingtaine d’années.
Depuis un mois ils dénoncent les conditions de travail sur le site. Ce matin la tension est montée d'un cran, ils ont décidé de bloquer le port autonome de Jarry pour “enfin” se faire entendre.
Le sous préfet de Pointe- à- Pitre a rappelé la nécessité de permettre la libre circulation des biens et des personnes. La situation s'est tendue entre les personnes mobilisées et les forces de l'ordre.
Du gaz lacrymogène a été répandu puis finalement la tension est progressivement redescendue.
A 13h15 les grévistes ont décidé de rouvrir les grilles du port mais de ne pas laisser passer les chargements de bananes. L'activité est donc redevenue normale pour les autres secteurs d'activité.
M. Dormoy, l'employeur des personnes mobilisées, a fait savoir qu'il était prêt à entamer des négociations.
Elles auront lieu avec le concours de la Direction du Travail, en tant que médiateur.
Depuis un mois ils dénoncent les conditions de travail sur le site. Ce matin la tension est montée d'un cran, ils ont décidé de bloquer le port autonome de Jarry pour “enfin” se faire entendre.
Le ton monte un court instant
Le sous préfet de Pointe- à- Pitre a rappelé la nécessité de permettre la libre circulation des biens et des personnes. La situation s'est tendue entre les personnes mobilisées et les forces de l'ordre.Du gaz lacrymogène a été répandu puis finalement la tension est progressivement redescendue.
Barrage filtrant sur les bananes
A 13h15 les grévistes ont décidé de rouvrir les grilles du port mais de ne pas laisser passer les chargements de bananes. L'activité est donc redevenue normale pour les autres secteurs d'activité.M. Dormoy, l'employeur des personnes mobilisées, a fait savoir qu'il était prêt à entamer des négociations.
Elles auront lieu avec le concours de la Direction du Travail, en tant que médiateur.