Une réunion du conseil municipal de Capesterre Belle Eau était prévue hier soir. Elle devait examiner les grandes orientations budgétaires de l’année. Joël Beaugendre a dû se rendre à l’évidence. En l’absence de quorum, le conseil n’a pas pu valablement délibéré.
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C’est une alerte, un message envoyé au premier magistrat de la ville. En l’absence de nombreux élus de sa majorité et de l’opposition. Sur les trente trois élus de la commune dix huit ne se sont pas rendus en mairie hier soir dont onze de l’équipe majoritaire. Le maire n’a pu qu’enregistrer sa difficulté d’un soir. L’incapacité de faire voter son budget pour l’exercice 2015. Il dispose d’un délai réglementaire de 8 jours pour réunir de nouveau le conseil municipal. A cette occasion, quel que soit le nombre de présents, il pourra faire examiner le document budgétaire.
Instabilité politique.
A Capesterre Belle Eau, ce n’est pas encore la crise mais la tension est palpable au sein de la municipalité. Depuis les ennuis judiciaires du maire, le conseil municipal s’est terriblement fragilisé. Une certaine tension règne entre élus. « Certains ne s’adressent plus la parole » dit-on dans la commune. Des voix se sont élevées pour dénoncer l’absence de transparence du maire. « Il n’a jamais osé faire le point avec ses adjoints après son retour à la mairie » nous dit l’un d’eux. La posture de l’opposition est différente. C’est le combat politique qui motive cette attitude de recul. A Capesterre Belle Eau, certains observateurs proches du premier magistrat dénoncent « un comportement anti-démocratique destiné à déstabiliser celui-ci ». Des manœuvres alimentées par une pré-campagne électorale qui se muscle de plus en plus à l’approche des départementales de mars prochain.
A l’affût des moindres agissements de l’équipe municipale, le leader de la nouvelle énergie Capesterrienne, Jean-Philippe Courtois, candidat malheureux aux dernières élections dans la commune exhorte les élus de la majorité et de l’opposition « à se remettre au travail ou à défaut à faire face à leurs responsabilités ». Les couteaux sont de sortie, si ce n’est pas encore la crise on en est pas très loin.
Instabilité politique.
A Capesterre Belle Eau, ce n’est pas encore la crise mais la tension est palpable au sein de la municipalité. Depuis les ennuis judiciaires du maire, le conseil municipal s’est terriblement fragilisé. Une certaine tension règne entre élus. « Certains ne s’adressent plus la parole » dit-on dans la commune. Des voix se sont élevées pour dénoncer l’absence de transparence du maire. « Il n’a jamais osé faire le point avec ses adjoints après son retour à la mairie » nous dit l’un d’eux. La posture de l’opposition est différente. C’est le combat politique qui motive cette attitude de recul. A Capesterre Belle Eau, certains observateurs proches du premier magistrat dénoncent « un comportement anti-démocratique destiné à déstabiliser celui-ci ». Des manœuvres alimentées par une pré-campagne électorale qui se muscle de plus en plus à l’approche des départementales de mars prochain.
A l’affût des moindres agissements de l’équipe municipale, le leader de la nouvelle énergie Capesterrienne, Jean-Philippe Courtois, candidat malheureux aux dernières élections dans la commune exhorte les élus de la majorité et de l’opposition « à se remettre au travail ou à défaut à faire face à leurs responsabilités ». Les couteaux sont de sortie, si ce n’est pas encore la crise on en est pas très loin.