Nous sommes à moins de trois jours du second tour des élections départementales. 16 cantons sont encore à pourvoir après le 1er tour de dimanche dernier.
Des scrutins inédits avec des enjeux locaux qui agitent l’échiquier politique guadeloupéen.
Des scrutins inédits avec des enjeux locaux qui agitent l’échiquier politique guadeloupéen.
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16 cantons sont encore à pourvoir dans notre archipel. Premier enseignement, l’abstention du premier tour a contraint de nombreux binômes qui ont eu la majorité à aller à un second tour avec des adversaires repêchés. Pourtant la participation a été moyenne : 44,42%.
Ensuite la forte municipalisation de chaque canton, malgré un redécoupage qui impose une collaboration intercommunale, pour la plupart de ces circonscriptions départementales. Analyse faite cela semble être une spécificité guadeloupéenne. Dans l’hexagone, selon plusieurs sondages près de la moitié des électeurs tiennent compte du contexte national.
Enfin dernier enjeux de ces scrutin, et c’est bien là une incompréhension le spectre des futures élections en décembre prochain les régionales. Les partis politiques se sont, depuis plusieurs semaines, mis en mode régionale. Ces départementales semblent servir de primaire, même si les ténors de la politique local s’en défendent.
Le second tour est primordial pour les états-majors. Le premier tour donne une petite prime à la fédération du parti socialiste. Le GUSR, Guadeloupe Unie Socialisme et Réalités, peut encore jouer les troubles fêtes. La droite, elle, est à la peine.
Ensuite la forte municipalisation de chaque canton, malgré un redécoupage qui impose une collaboration intercommunale, pour la plupart de ces circonscriptions départementales. Analyse faite cela semble être une spécificité guadeloupéenne. Dans l’hexagone, selon plusieurs sondages près de la moitié des électeurs tiennent compte du contexte national.
Enfin dernier enjeux de ces scrutin, et c’est bien là une incompréhension le spectre des futures élections en décembre prochain les régionales. Les partis politiques se sont, depuis plusieurs semaines, mis en mode régionale. Ces départementales semblent servir de primaire, même si les ténors de la politique local s’en défendent.
Le second tour est primordial pour les états-majors. Le premier tour donne une petite prime à la fédération du parti socialiste. Le GUSR, Guadeloupe Unie Socialisme et Réalités, peut encore jouer les troubles fêtes. La droite, elle, est à la peine.