Le Syndicat UGTG a bloqué les abords de Basse-Terre pour réclamer un dialogue sur l’avenir de l'hôtel Saint Georges à Saint-Claude. Le dialogue permettra aussi de parler de l'avenir des tous les salariés, ceux qui veulent partir et les autres.
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Il faut bien constater qu’il y a de l’hôtellerie sur la Basse-Terre et qu’elle marche plutôt bien
La Basse-Terre est riche d’histoires, de métiers, de cultures et elle est la perle du tourisme guadeloupéen. Alors pourquoi le dernier hôtel du Sud Basse-Terre, le Saint-Georges, va-t-il fermer ? L’hôtel est un symbole et le chômage une réalité menaçante pour ses quatorze salariés. Mais une question : cet hôtel a- t- il une place actuellement ? Existe-t-il une clientèle pour ce type d’Hôtellerie d’affaires dans la capitale administrative de la Guadeloupe ?
Dans son bureau du Comité régional du Tourisme Willy Rozier a le regard rêveur. Le jeune homme est un expert et fort de réussites éclatantes dans le domaine du tourisme en Guadeloupe
La question est de savoir s’il faut ou non avoir un hôtel ? Bien évidemment l’établissement hôtelier se justifie si l’endroit est un pôle d’attractivité touristique. La Basse-Terre l’est…Mais ma conviction est qu’il ya de la place pour une hôtellerie de charme mais peut on y mettre une hôtellerie d’affaire ? C’est la question….Le cas de l’hôtel Saint-George me rend perplexe…
Une perplexité partagée.. Il y a suffisamment d’hébergement hôtelier sur le Sud Basse Terre mais c’est de la petite hôtellerie de gite souvent de très haut de gamme
« J’ai visité dernièrement un endroit très insolite, reprend Willy Rozier, à côté de la ville de Basse-Terre entre Gourbeyre et Trois-Rivières. C’est un hébergement unique dans la Caraïbe. Une vue splendide sur les Saintes et Marie Galante, au milieu d’une plantation de bananiers Bio…Voilà un produit, au regard de son imbrication dans son environnement, qui ne peut que marcher…C’est un produit unique et c’est la vivante illustration du fait que la Basse-Terre a une vocation pour les petites unités d’hébergement touristique de haut-de-gamme.
L’Hôtel saint Georges de saint- Claude, le dernier hôtel d’affaires de la Basse Terre fermera sans doute. Il n’est plus compétitif sur le marché mais il faudrait peut être lui trouver un destin ou un avenir. Et peut-être décider des investisseurs… Mais pour en faire quoi ?
Voir aussi :
La Basse-Terre est riche d’histoires, de métiers, de cultures et elle est la perle du tourisme guadeloupéen. Alors pourquoi le dernier hôtel du Sud Basse-Terre, le Saint-Georges, va-t-il fermer ? L’hôtel est un symbole et le chômage une réalité menaçante pour ses quatorze salariés. Mais une question : cet hôtel a- t- il une place actuellement ? Existe-t-il une clientèle pour ce type d’Hôtellerie d’affaires dans la capitale administrative de la Guadeloupe ?
Dans son bureau du Comité régional du Tourisme Willy Rozier a le regard rêveur. Le jeune homme est un expert et fort de réussites éclatantes dans le domaine du tourisme en Guadeloupe
La question est de savoir s’il faut ou non avoir un hôtel ? Bien évidemment l’établissement hôtelier se justifie si l’endroit est un pôle d’attractivité touristique. La Basse-Terre l’est…Mais ma conviction est qu’il ya de la place pour une hôtellerie de charme mais peut on y mettre une hôtellerie d’affaire ? C’est la question….Le cas de l’hôtel Saint-George me rend perplexe…
Une perplexité partagée.. Il y a suffisamment d’hébergement hôtelier sur le Sud Basse Terre mais c’est de la petite hôtellerie de gite souvent de très haut de gamme
« J’ai visité dernièrement un endroit très insolite, reprend Willy Rozier, à côté de la ville de Basse-Terre entre Gourbeyre et Trois-Rivières. C’est un hébergement unique dans la Caraïbe. Une vue splendide sur les Saintes et Marie Galante, au milieu d’une plantation de bananiers Bio…Voilà un produit, au regard de son imbrication dans son environnement, qui ne peut que marcher…C’est un produit unique et c’est la vivante illustration du fait que la Basse-Terre a une vocation pour les petites unités d’hébergement touristique de haut-de-gamme.
L’Hôtel saint Georges de saint- Claude, le dernier hôtel d’affaires de la Basse Terre fermera sans doute. Il n’est plus compétitif sur le marché mais il faudrait peut être lui trouver un destin ou un avenir. Et peut-être décider des investisseurs… Mais pour en faire quoi ?
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