C’est très tendance : le snacking ou comment manger équilibré sur le pouce ! 9 professionnels, pour la plupart artisans-boulangers, ont suivi un stage proposé par A&M, une société qui est désormais implantée dans la zone d’activités de Jabrun à Baie-Mahault.
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ciabatta chèvre, miel et noix ; bagel au pastrami et confit d’échalote au vin rouge ; pain viennois aux aiguillettes de poulet-crème estragon, et citron ; focaccia crevettes poêlées et crème de guacamole… Pascal TANGUY, meilleur ouvrier de France traiteur-charcutier, est venu spécialement de Saint-Etienne pour partager avec les 9 stagiaires, ses secrets de cuisine et les aider à réaliser des petits sandwichs gourmets.
Ce traiteur-charcutier, aime travailler les viandes, la charcuterie et les poissons. Et l’avantage du snacking, c’est que tout est possible.
Manger en dehors des repas nous concerne tous. Cela porte le nom de "snacking". 9 français sur 10 pratiqueraient le "snacking" selon une récente étude Ipsos. L'évolution de notre société depuis 50 ans a favorisé l'essor de ce nouveau type de consommation. Entre les repas ou à leur place, le snacking est largement pratiqué aujourd'hui. Les produits phare des snackers sont les produits laitiers (38 %), les produits salés à grignoter (15 %) et les viennoiseries (11 %). Si le snacking représente une "fragmentation" de l'apport calorique quotidien, et que les aliments concernés sont souvent riches en sucres, il n'est cependant pas prouvé qu'il favorise l'obésité. Si le snacking répond à un besoin énergétique précis (faim conséquente à un repas léger, fatigue, activités sportives...), les nutritionnistes ne l'interdisent pas. Ils parlent même de "snacking intelligent", car équilibré. Pour snacker intelligemment donc, mieux vaut favoriser les aliments riches en protéines, car ils rassasient davantage. Par contre, si le snacking fait office de grignotage, sans faim et sans besoin, il va s'ajouter à l'apport calorique quotidien, et la prise de poids est assurée... Pour une envie soudaine de grignotage, jetez-vous donc sur un fruit par exemple !
(Source : Lexique de l'Alimentation et de la Santé)
Ce traiteur-charcutier, aime travailler les viandes, la charcuterie et les poissons. Et l’avantage du snacking, c’est que tout est possible.
Ils sont 9 à suivre cette formation snacking. La plupart des stagiaires sont artisans-boulangers ou pâtissiers. Et ils font de plus en plus de restauration rapide. Et comme le snacking évolue très vite, il faut être capable de s’adapter très vite à la demande.
La structure qui accueille la formation, A&M, distribue des matières premières aux boulangers, pâtissiers, charcutiers, traiteurs.
Manger en dehors des repas nous concerne tous. Cela porte le nom de "snacking". 9 français sur 10 pratiqueraient le "snacking" selon une récente étude Ipsos. L'évolution de notre société depuis 50 ans a favorisé l'essor de ce nouveau type de consommation. Entre les repas ou à leur place, le snacking est largement pratiqué aujourd'hui. Les produits phare des snackers sont les produits laitiers (38 %), les produits salés à grignoter (15 %) et les viennoiseries (11 %). Si le snacking représente une "fragmentation" de l'apport calorique quotidien, et que les aliments concernés sont souvent riches en sucres, il n'est cependant pas prouvé qu'il favorise l'obésité. Si le snacking répond à un besoin énergétique précis (faim conséquente à un repas léger, fatigue, activités sportives...), les nutritionnistes ne l'interdisent pas. Ils parlent même de "snacking intelligent", car équilibré. Pour snacker intelligemment donc, mieux vaut favoriser les aliments riches en protéines, car ils rassasient davantage. Par contre, si le snacking fait office de grignotage, sans faim et sans besoin, il va s'ajouter à l'apport calorique quotidien, et la prise de poids est assurée... Pour une envie soudaine de grignotage, jetez-vous donc sur un fruit par exemple !
(Source : Lexique de l'Alimentation et de la Santé)