Depuis juillet 2017, François Meurgey sillonne la forêt basse-terrienne, et les arbres creux, à la recherche de colonies de mélipones. Cet entomologiste, spécialiste des abeilles, réalise durant 18 mois (jusqu’en décembre 2018) une étude sur cette petite abeille sauvage, endémique de la Guadeloupe
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La mélipone, qui ne pique pas, produit un miel aux vertus thérapeutiques reconnues. Elle intéresse donc fortement nos apiculteurs, dont certains ont déjà récupéré des essaims. Mais peut-on exploiter la mélipone, sans la menacer ? C’est tout l’objet de cette étude, baptisée « Méligua », financée par le FEDER, et pilotée par le Parc National, en partenariat avec l’APIGUA (l’Association des apiculteurs de la Guadeloupe).
Comment vit l’abeille mélipone ? Quelle est sa répartition géographique exacte ? Que butine-t-elle ? Toutes ces connaissances sur la biologie et l’écologie de l’espèce sont indispensables au développement éventuel d’une méliponiculture. Josiane Champion a accompagné François Meurgey, dans le suivi d’une colonie de mélipones, située à Deshaies, et mise à disposition par l’apiculteur amateur qui l’a découverte.
Le 1er volet du magazine (diffusé le 3 février), est à réécouter sur guadeloupe.la1ere.fr
Comment vit l’abeille mélipone ? Quelle est sa répartition géographique exacte ? Que butine-t-elle ? Toutes ces connaissances sur la biologie et l’écologie de l’espèce sont indispensables au développement éventuel d’une méliponiculture. Josiane Champion a accompagné François Meurgey, dans le suivi d’une colonie de mélipones, située à Deshaies, et mise à disposition par l’apiculteur amateur qui l’a découverte.
Reportage à suivre dans Kamannyòk, samedi 10 février à 6h15 et 13h15 sur Guadeloupe la 1ère Radio (2ème volet).
Le 1er volet du magazine (diffusé le 3 février), est à réécouter sur guadeloupe.la1ere.fr