C'est une vision apocalyptique qui s'offrait à la vue des curieux, au cœur du quartier de Boissard, aux Abymes, au lendemain du passage du cyclone Hugo.
Là où des maisons s’élevaient, il ne restait plus qu’un amas de bois, de tôles et d’effets personnels épars. Tout était à refaire, selon le constat dressé par Paul-Henri SCHOL, le 18 septembre 1989 :