La technique est simple. Un individu vous fait miroiter un poste, ou vous prend carrément en contrat, en échange d'une avance financière, remboursable bien sûr, selon le " dit " employeur. C’est la triste mésaventure que des demandeurs d’emploi ont connue ces derniers jours
Une histoire comme toutes celles que l'on croit qui ne nous arriveront jamais parce qu'on se croit suffisamment averti et prudent. Pourtant, les arnaqueurs savent déjouer les réflexes de prudence.
Celle qui a bien voulu témoigner à notre micro se pensait prudente et avertie. Mais voilà, déjà en difficulté, en ces temps de crise sanitaire, elle s’est vue dépossédée de 2500 euros...Au départ elle pensait être embauchée par une agence immobilière, basée en Guyane, comme assistante (en télétravail).
La somme devait servir à l’achat de matériel informatique. Par le biais d’un chèque, elle devait être rencaissée. Mais ce chèque est revenu impayé. La victime a porté plainte. Elle était pourtant passée par un site internet référencé.
La suite, elle l'a raconté à Colette Borda en préférant garder l’anonymat.
Une victime d'arnaque
Et il faut bien comprendre que pour elle, comme pour toutes les victimes de ce type d'arnaque, le préjudice n'est pas seulement financier, il détruit encore plus celui qui n'est tombé dans le piège que parce qu'il était déjà en difficulté
Une victime d'arnaque
Face à la recrudescence de ces cas d'arnaque à l'emploi, le gouvernement et Pôle Emploi mettent en garde les demandeurs d'emploi en leur conseillant d'être vigilants et en leur suggérant les bons réflexes à avoir pour évier d'en être victimes.