C’est Médiapart qui révèle l’affaire. C’est une de ses jeunes consoeurs qui a déclenché cette procédure à l’encontre de la star du barreau Parisien. Une procédure disciplinaire est également en cours au conseil de l’ordre des avocats de Paris.
•
C’est une jeune femme en stage de fin d’étude au cabinet d’Alex Ursulet qui l’accuse d’avoir, un soir de janvier 2018, abusé d’elle dans son bureau.
Elle évoque des relations à la fois intrusives et d’emprises avec l’avocat dès le début de sa formation jusqu’à cette soirée où les faits se seraient produits. La plaignante affirme avoir été, dans un premier temps, très perturbée, n’avoir pas déclenché immédiatement de procédures et avoir finalement décidé de la faire en septembre 2018 en raison de l’attitude nuisible de l’avocat envers sa réputation durant les mois qui ont suivi.
Selon le site internet Médiapart qui est entré en contact avec l'avocat, Alex Ursulet conteste tous les faits qui lui sont reprochés et décrit la plaignante comme « une affabulatrice, doublée d’une alcoolique et toxicomane, une personne fragile et influencable ».
Pas moins de sept ténors du barreau parisien assurent la défense de l’avocat. Eux parlent également d’une jeune fille manipulée et expliquent que leur client est victime d’une machination ayant pour objectif de lui nuire.
Ils ont eux aussi déposé plainte contre la jeune femme pour dénonciation calomnieuse et violation du secret professionnel.
Elle évoque des relations à la fois intrusives et d’emprises avec l’avocat dès le début de sa formation jusqu’à cette soirée où les faits se seraient produits. La plaignante affirme avoir été, dans un premier temps, très perturbée, n’avoir pas déclenché immédiatement de procédures et avoir finalement décidé de la faire en septembre 2018 en raison de l’attitude nuisible de l’avocat envers sa réputation durant les mois qui ont suivi.
Selon le site internet Médiapart qui est entré en contact avec l'avocat, Alex Ursulet conteste tous les faits qui lui sont reprochés et décrit la plaignante comme « une affabulatrice, doublée d’une alcoolique et toxicomane, une personne fragile et influencable ».
Pas moins de sept ténors du barreau parisien assurent la défense de l’avocat. Eux parlent également d’une jeune fille manipulée et expliquent que leur client est victime d’une machination ayant pour objectif de lui nuire.
Ils ont eux aussi déposé plainte contre la jeune femme pour dénonciation calomnieuse et violation du secret professionnel.