Ils étaient six jusqu'à hier auditionnés par la brigade de sécurité urbaine du commissariat de Capesterre Belle-Eau. Ils sont soupçonnés de viol sur mineure. Deux d'entre eux ont été relâchés. Les quatre autres sont ce matin devant un juge d'instruction à Pointe-à-Pître
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Six jeunes lycéens, âgés de 16 ans, soupçonnés de viol collectif sur une lycéenne âgée de 16 ans avaient été placés en garde à vue en début de matinée le jeudi 28 novembre 2019 au commissariat de police de Capesterre Belle Eau. La victime et ses agresseurs sont tous scolarisés dans le même établissement à Capesterre Belle-Eau. Les faits se seraient déroulés dans une vieille école désaffectée du bourg, courant octobre 2019.
Tout a débuté lors de la diffusion sur un réseau social à la mi-novembre 2019 d'un film mettant en scène une jeune femme et un jeune homme en plein acte sexuel. Autour d'eux, d'autres jeunes s'amusant de la scène. Tous vêtus de l'uniforme de leur établissement scolaire.
L'enquête confiée à la brigade de sécurité urbaine du commissariat de police de Capesterre Belle Eau sous la direction du parquet de Basse-Terre se poursuit désormais devant le parquet du pôle pénal de Pointe-à-Pitre, en raison de la gravité des faits.
Trois de ces lycéens soupçonnés ont été placés dans des centres éducatifs fermés, le 4ème a été placé sous contrôle judiciaire. L’instruction suit son cours pour déterminer les circonstances exactes de cette affaire.
Tout a débuté lors de la diffusion sur un réseau social à la mi-novembre 2019 d'un film mettant en scène une jeune femme et un jeune homme en plein acte sexuel. Autour d'eux, d'autres jeunes s'amusant de la scène. Tous vêtus de l'uniforme de leur établissement scolaire.
L'enquête confiée à la brigade de sécurité urbaine du commissariat de police de Capesterre Belle Eau sous la direction du parquet de Basse-Terre se poursuit désormais devant le parquet du pôle pénal de Pointe-à-Pitre, en raison de la gravité des faits.
Trois de ces lycéens soupçonnés ont été placés dans des centres éducatifs fermés, le 4ème a été placé sous contrôle judiciaire. L’instruction suit son cours pour déterminer les circonstances exactes de cette affaire.