Du flamenco caribéen, à la danse contemporaine d’inspiration gwo ka… Du solo à la transe collective, ce temps danse à l’Artchipel est une invitation à la découverte des univers en partage, dans la danse Contemporaine. C’est comme cela que le Flamenco d’Ana Pérez résonne avec le hip-Hop/Gwoka de Max Diakok exploré dans la pièce ‘’Masonn’’
Les écritures chorégraphiques de ce temps danse à l’Artchipel évoquent tour à tour, les aliénations contemporaines, la migration, l’enfermement, la liberté ou encore la place du sucre dans l’histoire de l’humanité, dans celle de la colonisation.
Ces 9 spectacles que propose la Scène Nationale, jusqu’au 06 mai prochain, nous offrent une vision de la danse contemporaine, à la Réunion, en Guadeloupe, en Martinique ou encore en Afrique. Les corps interrogent nos réalités et nos histoires, dans des créations multiples signées par des chorégraphes qui subliment le réel.
Côté Guadeloupe, on l’a dit, c’est le retour de la compagnie Boukoussou de Max Diakok avec la pièce pour 4 danseurs ‘’Masonn’’. Et puis ‘’Le sacre du sucre’’ marque, quant à lui, le grand retour de la Trilogie Léna Blou sur une scène de Guadeloupe.
De la Danse comme on l’aime à des prix abordables allant de 20 euros pour une représentation à 72 euros pour un pass Festival. C’est à L’Artchipel qui redonne sa place à une Danse qui discute et échange avec les publics.
Ce soir, à voir, dès 20h, sur la scène de l’Artchipel, le solo chorégraphique d’Ana Pérez : ‘’Concerto en 37 et demi’’
Tout le programme du Festival danse est à retrouver sur le site www.lartchipel.com
Voir aussi :