Le « plan chlordécone 3 » ne soutient pas du tout la recherche en termes de financement. C’est ce que déplorent les chercheurs de l’Université des Antilles, qui manquent de moyens pour mener leurs travaux.
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Le dossier chlordécone a de multiples rebondissements. Mais au milieu de tout ce qui se dit, il y a aussi la voix des chercheurs. Elle exprime leurs espoirs, mais aussi leurs frustrations. Espoirs, parce que les scientifiques de l’Université des Antilles font des progrès dans leur connaissance de la molécule et de la manière dont elle contamine les organismes vivants. Mais frustration également, car si le « plan chlordécone 3 » prévoit, sur le papier, de mettre l’accent sur la recherche ; dans les faits, à l’Université des Antilles, on a beaucoup de mal à réunir les financements nécessaires à ces recherches
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