Covid et confinement : une recrudescence des violences conjugales

Cinq cas de violences conjugales en un week-end… Le phénomène est en augmentation dû à la crise sanitaire. Mais il ne faut pas attendre l’irréparable pour le dénoncer.

Cinq cas de violences conjugales signalés en l’espace d’un week-end en Guadeloupe ! Avec le confinement décidé pour lutter contre le COVID-19, la promiscuité du huis clos dans les logements peut exacerber les tensions et les risques de violences au sein des couples.

La police nationale a constaté une recrudescence de ces violences. Elle enjoint victimes et témoins à ne pas attendre qu’une situation conflictuelle dégénère pour dénoncer ces faits. Mais comment et auprès de qui ?

Pour répondre efficacement à ce fait de société : police, et associations se mobilisent en réseau pour faire barrage. Lise Dolmare et Olivier Duflo, vous propose une immersion dans cette dure réalité.

A regarder le reportage de Lise Dolmare et Olivier Duflo

Depuis avril 2020, les professionnels de santé (médecins et pharmaciens) sont autorisés à informer le procureur de la République d’un cas de suspicion de violence conjugale, sans l’accord obligatoire de la victime. Mais en l’ayant informée de la démarche de signalement.