Culture du risque : le Rectorat de la Guadeloupe crée une cellule de crise.

Ecole maternelle « Ghislaine ROGGERS », à Grand Case
L’Académie de la Guadeloupe entend tirer des leçons des conséquences du passage d'Irma et Maria, sur les Antilles françaises, en septembre 2017.
La mise en place d’une cellule de crise a été décidée. Une entité qui devra permettre, en cas de catastrophe naturelle, de gagner en rapidité d’action.

 
S’il appartient aux collectivités d’intervenir, pour remédier aux dégâts matériels, notamment sur le bâti, lors des catastrophes naturelles, le Rectorat, lui, axe ses actions sur le fonctionnement des écoles, collèges et lycées.
Fonctionnement particulièrement perturbé, après le passage des ouragans de catégorie 5, Irma sur Saint-Barthélemy et Saint-Martin, puis Maria sur la Guadeloupe, en septembre 2017.
Un « guide de gestion » a été mis en place, pour les différentes crises. Il s’agit d’une sorte de retour sur expérience, réalisé avec le concours d’une entreprise spécialisée, suite ces phénomènes qui ont fortement impactés les établissements scolaires.
Grâce à ce document, chacun sera en mesure de savoir ce qu’il doit faire et à qui il doit s’adresser.
 

Mostafa FOURAR, recteur d'Académie de la Guadeloupe, est interrogé par Marine BASTAREAUD :