Des jours gras sous haute surveillance

Les images du déboulé des danseuses du groupe Mas Ka Klé éparpillées par un coup de feu ont fait le tour des réseaux sociaux. Le 12 février dernier, à Pointe-à-Pitre, les festivités du carnaval ont été troublées par des débordements et une personne a été blessée légèrement à l'épaule. Pour mettre fin aux troubles, la police a dû faire usage de gaz lacrymogène.

Aussi, à l'horizon des jours gras, le pic des festivités carnavalesques, pour éviter que de telles scènes se reproduisent, la police et la gendarmerie mettent en place, sur leurs zones respectives, des dispositifs renforcés afin de sécuriser autant que possible les parades. 

Laurent Chavanne - directeur territorial de la police nationale

L'annonce veut aussi rassurer les spectateurs que les scènes de panique ou les violences auraient pu refroidir.

Au total, pour la police nationale, 100 agents seront déployés sur l'ensemble de la zone.