L'un des radars tourelles de Goyave, sur la RN1, a été détruit par les flammes. Les incendiaires ont agis durant la nuit.
Il était 03h42 quand les pompiers ont été appelés, dans la nuit de mardi 1er au mercredi 02 décembre 2020. En bordure de la route nationale 1, un brasier était à éteindre ; celui-ci était allumé au pied du radar tourelle situé non loin d'un hyper-marché, à Goyave.
L'équipement a été complètement détruit, malgré l'intervention des huit soldats du feu dépêchés sur place, avec un fourgon incendie.
La série continue, donc, après la mise hors service des radars de Dalciat, à Baie-Mahault, la semaine dernière et de Bas-du-Fort, au Gosier, durant le week-end.
Cette fois encore, les forces de l'ordre étaient sur place. Une enquête sera ouverte, comme à chaque fois, afin de déterminer l'identité des incendiaires qui, s'il s'agit des mêmes individus, semblent agir méthodiquement, pour détruire ces dispositifs considérés, par certains, comme des "pompes à fric" au détriment des automobilistes, à en croire les commentaires de nombre d'Internautes, sur les réseaux sociaux.
Les contrevenants risquent gros : jusqu'à 10 ans de prison et 150.000 euros d'amende, comme nous le précisait le procureur de la république de Pointe-à-Pitre, dans cet article :
Mais alors que ces actes de vandalismes se poursuivent, les radars, eux, sont toujours déployés, sur le territoire.
Quant à ceux qui sont saccagés, ils sont remplacés, avec des fonds publics.
L'équipement a été complètement détruit, malgré l'intervention des huit soldats du feu dépêchés sur place, avec un fourgon incendie.
La série continue, donc, après la mise hors service des radars de Dalciat, à Baie-Mahault, la semaine dernière et de Bas-du-Fort, au Gosier, durant le week-end.
Cette fois encore, les forces de l'ordre étaient sur place. Une enquête sera ouverte, comme à chaque fois, afin de déterminer l'identité des incendiaires qui, s'il s'agit des mêmes individus, semblent agir méthodiquement, pour détruire ces dispositifs considérés, par certains, comme des "pompes à fric" au détriment des automobilistes, à en croire les commentaires de nombre d'Internautes, sur les réseaux sociaux.
Les contrevenants risquent gros : jusqu'à 10 ans de prison et 150.000 euros d'amende, comme nous le précisait le procureur de la république de Pointe-à-Pitre, dans cet article :
Mais alors que ces actes de vandalismes se poursuivent, les radars, eux, sont toujours déployés, sur le territoire.
Quant à ceux qui sont saccagés, ils sont remplacés, avec des fonds publics.