Un détenu de 53 ans a mis fin à ses jours à la maison d'Arrêt de Basse-Terre, ce midi. L'homme a été retrouvé pendu, par les gardiens. Le personnel pénitentiaire est sous le choc.
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S'agit-il d'un drame de la détresse humaine, en cette période de fêtes de fin d'année ? Un détenu de 53 ans s'est suicidé à la maison d'arrêt de Basse-Terre ce samedi.
Incarcéré depuis moins d'un mois à la maison d'arrêt, l'homme est décrit par Frantz Sapor, secrétaire local de l'UFAP UNSA comme calme et correct. Rien ne laissait présager un tel acte, selon le syndicaliste. "C'est vraiment un choc, surtout à l'approche des fêtes de Noël. Que ce soit pour la population pénale ou pour les surveillants. Dans notre département, les détenus n'ont pas ce genre de comportement. Nous n'avons pas l'habitude de faire face à ce type de situation".
Pour l'heure, rien n'explique le geste de l'homme de 53 ans. Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur ce suicide.
Une tragédie qui intervient alors que dans la semaine, le Secours populaire et la direction de l'établissement organisait un Noël pour les détenus. Les fêtes de fin d'année, confiait le directeur de la maison d'arrêt, Olivier Vicquelin, sont toujours une période sensible pour les détenus, loin de leurs familles.
Choc pour la population pénale et les surveillants pénitentiaires
Ce sont les gardiens qui ont fait la macabre découverte. A la mi-journée, ce samedi, un prisonnier a été retrouvé pendu.Incarcéré depuis moins d'un mois à la maison d'arrêt, l'homme est décrit par Frantz Sapor, secrétaire local de l'UFAP UNSA comme calme et correct. Rien ne laissait présager un tel acte, selon le syndicaliste. "C'est vraiment un choc, surtout à l'approche des fêtes de Noël. Que ce soit pour la population pénale ou pour les surveillants. Dans notre département, les détenus n'ont pas ce genre de comportement. Nous n'avons pas l'habitude de faire face à ce type de situation".
Pour l'heure, rien n'explique le geste de l'homme de 53 ans. Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur ce suicide.
Une tragédie qui intervient alors que dans la semaine, le Secours populaire et la direction de l'établissement organisait un Noël pour les détenus. Les fêtes de fin d'année, confiait le directeur de la maison d'arrêt, Olivier Vicquelin, sont toujours une période sensible pour les détenus, loin de leurs familles.