1er jour de visite en Guadeloupe pour Nicolas Hulot et Annick Girardin. Le ministre de la Transition écologique et solidaire a été accueilli cet après midi à Petit Bourg pour aborder le dossier sensible des Sargasses.Et les comités populaires ont veillé à se faire entendre
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Sa visite était attendue. Nicolas Hulot est arrivé en Guadeloupe cet après midi en compagnie d'Annick Girardin, la ministre des Outre mers. Ils se sont immédiatement rendus à Petit Bourg, où ils étaient attendus par l'ensemble des élus. Pas d'acceuil républicain mais un accueil citoyen pour les ministres. De nombreux manifestants sont venus signifier leur exaspération face aux sargasses
L'étape d'après les conduit sur la plage de Viard à Petit Bourg. Il s'agit de faire une démonstration d'enlevage et d'épandage de sargasses. Les deux opérations se font à quelques mètres et les ministres peuvent se faire une idée de ce que pourrait être comme solution un tel schéma d'intervention.
Mais il semble cependant évident que cela ne peut pas suffire. Pour Annick Girardin, il faut pouvoir mettre en place un système d'alerte avant l'arrivée des algues. Pour Nicolas Hulot, même complexe, la situation est suffisamment urgente pour nécessité un traitement de choc.
Les constats faits, les ministres se sont ensuite rendus avec les élus à la mairie de Petit Bourg pour un échange au cours duquel ils devraient lever une partie du voile sur le plan qu'ils comptent annoncer pour intensifier la lutte contre les sargasses.
Des annonces qui se poursuivront demain lundi, mais cette fois dans les îles de l'Archipel, à la Désirade, à Marie-Galante et à Terre de Bas, trois îles particulièrement victimes des algues brunes et dont les économies se retrouvent désormais asphyxiées et sans solution
(Retrouvez sur notre page Facebook l'intégralité de l'étape de Viard de la visite ministérielle)
L'étape d'après les conduit sur la plage de Viard à Petit Bourg. Il s'agit de faire une démonstration d'enlevage et d'épandage de sargasses. Les deux opérations se font à quelques mètres et les ministres peuvent se faire une idée de ce que pourrait être comme solution un tel schéma d'intervention.
Mais il semble cependant évident que cela ne peut pas suffire. Pour Annick Girardin, il faut pouvoir mettre en place un système d'alerte avant l'arrivée des algues. Pour Nicolas Hulot, même complexe, la situation est suffisamment urgente pour nécessité un traitement de choc.
(Retrouvez sur notre page Facebook l'intégralité de l'étape de Viard de la visite ministérielle)