L'inquiétude gagne les responsables de l'établissement français du sang... Noël approche à grands pas et les réserves de sang sont très basses.
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7 147 dons collectés depuis le début de l'année, alors que la Guadeloupe a besoin de 10 000 donc pour être auto-suffisante. Si 5 000 donneurs sont passés par l'EFS, l'établissement français du sang, depuis janvier, les réserves de sang restent très basses. Un constat qui n'est pas rassurant à l'approche des fêtes de fin d'année. L'établissement français du sang en appelle à la générosité de tous et des collectes sont organisées dans les communes pour remédier à cette diminution des réserves.
Nous recevons des poches de l'Hexagone, mais les stocks sont également bas, au niveau national.
Pour le docteur Guillaume Cariou, médecin de prélèvement EFS, il est important que la population donne davantage. Car, il y a chez nous des groupes sanguins rares, que l'on ne trouve pas dans l'Hexagone.
En cas de voyages dans un pays d'Afrique, République dominicaine, Haïti, Guyane, Amérique du Sud, durant les 4 derniers mois, avant le don.
A (re) voir le reportage de Rémy Senneville et Rodrigue Lami :
La Guadeloupe manque de sang
Notre département ne collecte pas suffisamment. Voici le constat faits par les responsables de l'EFS, ces dernières semaines. Constat terrible, d'autant plus que la Guadeloupe doit également alimenter la Guyane, en sang.Nous recevons des poches de l'Hexagone, mais les stocks sont également bas, au niveau national.
Pour le docteur Guillaume Cariou, médecin de prélèvement EFS, il est important que la population donne davantage. Car, il y a chez nous des groupes sanguins rares, que l'on ne trouve pas dans l'Hexagone.
Quelques motifs de refus
Mais, tout le monde ne peut pas donner son sang. Il existe certains motifs de refus : les personnes ayant récemment fait un piercing, un tatouage ou un examen endoscopique, avant au moins 4 mois.En cas de voyages dans un pays d'Afrique, République dominicaine, Haïti, Guyane, Amérique du Sud, durant les 4 derniers mois, avant le don.
A (re) voir le reportage de Rémy Senneville et Rodrigue Lami :