Les habitants de Sainte-Anne, La Désirade, Saint-François et d'une partie du Moule en rêvent : de l'eau au robinet. Les financements des travaux de réparation de la station de l'Espérance à Morne-à-l'Eau sont bouclés. Ils peuvent enfin entrevoir l'espoir de la fin des tours d'eau.
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L’eau brute distribuée à Sainte Anne, Saint François, la Désirade et une petite partie du Moule (Zévallos) transite via la station de pompage de l’Espérance à Morne à l’Eau. Une station défaillante, faute d’argent pour entretenir les équipements techniques. 2 des 4 pompes étaient en panne et le réservoir bélier était hors-service, sa membrane intérieure déchirée. Conséquence : l’alimentation des 4 territoires se faisaient de manière sporadique et non sécurisée.
L’Etat s’est donc substitué au Siaeag pour financer le chantier. La Communauté d’Agglomération de la Riviera du levant assurant pour sa part l’achat des deux réservoirs béliers pour un montant de 300 000 euros. Le second réservoir sera installé au cours du mois de septembre à la station de pompage de Terrasson dans les Grands Fonds.
Les explications de Jérôme Oberto, expert à l'usine Karuker’o.
Des travaux qui avaient débuté il y a deux ans, mais qui ont dûs être arrêtés par l'entreprise de pompage Protelec, faute de financements. Christophe Galle, le directeur de Pompes Protelec.
Une fois les travaux achevés, l’Espérance devrait à nouveau fonctionner à 100% de ses capacités et donc injecter 1200 M3 d’eau par heure en direction de l’usine de production de Deshauteurs à Sainte Anne
L’Etat s’est donc substitué au Siaeag pour financer le chantier. La Communauté d’Agglomération de la Riviera du levant assurant pour sa part l’achat des deux réservoirs béliers pour un montant de 300 000 euros. Le second réservoir sera installé au cours du mois de septembre à la station de pompage de Terrasson dans les Grands Fonds.
Les explications de Jérôme Oberto, expert à l'usine Karuker’o.
Des travaux qui avaient débuté il y a deux ans, mais qui ont dûs être arrêtés par l'entreprise de pompage Protelec, faute de financements. Christophe Galle, le directeur de Pompes Protelec.
Une fois les travaux achevés, l’Espérance devrait à nouveau fonctionner à 100% de ses capacités et donc injecter 1200 M3 d’eau par heure en direction de l’usine de production de Deshauteurs à Sainte Anne