Dernier volet de notre série consacrée à la santé des Guadeloupéens d’après les résultats d’une étude de l’Observatoire Régional de la Santé, l’ORSAG entre 2008 et 2014. Parmi les principales pathologies qui touchent les Guadeloupéens, les maladies cardiovasculaires et les cancers féminins.
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C’est la première cause d’hospitalisation sur la période : qu’il s’agisse d’AVC, d’insuffisance cardiaque, de maladies coronariennes, toutes confondues, les pathologies cardiovasculaires représentent 20% des admissions en centre de soin.
De plus en plus de Guadeloupéens sont touchés mais de moins en moins en meurrent même si elle est la deuxième cause de mortalité avec ¼ des décès.
* Les hommes et les séniors sont les premières victimes de ces maladies.
* Les Sud Grande-Terre et Basse-Terre sont les zones ou les taux sont les plus élevées.
* A l’inverse, le Nord Basse-Terre est le plus épargnés.
Le cancer du sein, une menace permanente pour les Guadeloupéennes
Autre pathologie passée au crible par l’ORSAG, le cancer du sein. Même si le nombre de cas est proportionnellement moindre que dans l’Hexagone et que le taux de mortalité est moins élevé, il représente tout de même 40% des tumeurs malignes féminines et la première cause de décès féminin par cancer devant ceux de l’utérus et du colon.
Géographiquement, c’est à Gosier que la maladie revient le plus fréquemment. A l’inverse sa prévalence est moindre à Grand Bourg, Terre de Bas, Trois Rivières et Vieux Fort.
De plus en plus de Guadeloupéens sont touchés mais de moins en moins en meurrent même si elle est la deuxième cause de mortalité avec ¼ des décès.
* Les hommes et les séniors sont les premières victimes de ces maladies.
* Les Sud Grande-Terre et Basse-Terre sont les zones ou les taux sont les plus élevées.
* A l’inverse, le Nord Basse-Terre est le plus épargnés.
Le cancer du sein, une menace permanente pour les Guadeloupéennes
Autre pathologie passée au crible par l’ORSAG, le cancer du sein. Même si le nombre de cas est proportionnellement moindre que dans l’Hexagone et que le taux de mortalité est moins élevé, il représente tout de même 40% des tumeurs malignes féminines et la première cause de décès féminin par cancer devant ceux de l’utérus et du colon.
Géographiquement, c’est à Gosier que la maladie revient le plus fréquemment. A l’inverse sa prévalence est moindre à Grand Bourg, Terre de Bas, Trois Rivières et Vieux Fort.