Berthésia Biabiany a dit "oui" pour s'unir à son compagnon. Mais ce dernier est décédé il y a de cela quelques années. C'est un mariage posthume qui répond à une procédure spécifique
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Si la formule habituelle et bien connue se prononce ainsi : "Jusqu'à ce que la mort nous sépare", à Basse-Terre ce 14 janvier, avaient un tout autre sens et ont même repoussé les limites du mariage. Berthésia et Elin avaient décidé de se marier. Tout était prêt pour cela mais la mort est venu ravir Elin à cet heureux destin.
Pendant plusieurs années, Berthésia et ses enfants, avec l'aide de ses avocats, se sont battus pour obtenir le droit de voir prononcé le mariage, à titre posthume. De longues années de bataille qui se sont conclues par une décret du Président de la République, seul habilité en la matière, et qui a permis que ce mariage puisse avoir lieu ce samedi 14 janvier à la mairie de Basse-Terre.
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Pendant plusieurs années, Berthésia et ses enfants, avec l'aide de ses avocats, se sont battus pour obtenir le droit de voir prononcé le mariage, à titre posthume. De longues années de bataille qui se sont conclues par une décret du Président de la République, seul habilité en la matière, et qui a permis que ce mariage puisse avoir lieu ce samedi 14 janvier à la mairie de Basse-Terre.
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