Les stratégies politiques se poursuivent pour la présidence du conseil de surveillance du Grand Port Maritime de la Guadeloupe. Une élection qui doit avoir lieu le 18 octobre prochain
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Défaite interdite pour le président de Région. Après sa déconvenue de 2016 où il a tenté en vain de s’emparer du port automone Ary Chalus qui soutient cette fois la candidature de Marie Luce Penchard ne peut se permettre un nouveau revers qui pourrait l’affaiblir politiquement.
D’autant que des voix s’élèvent dans le camp politique pour donner quitus à un socio-professionnel ; c’est le cas du maire de Pointe à Pitre Jacques Bangou, ou encore de la présidente du Conseil Départementale Josette Borel-Lincertin.
Du coup, l’Exécutif régional, qui ne veut pas avoir de mauvaises surprises, démarche, discute, négocie. En clair, il cherche à verrouiller l’affaire. Il tente même le passage en force.
Mais la candidature du maire de Basse Terre ne trouve pas pour l’heure une large adhésion, eu égard à ses démêlées judiciaires,
dans un scrutin qui s’annonce très serré ou l’élection peut se décider à une voix près. Selon nos sources, une rencontre pourrait se tenir demain entre la Région et les socio-professionnels, sans doute dans le but de trouver un accord qui pourrait satisfaire les deux parties. On le voit donc, les jeux sont encore ouverts.
Un adage propre aux gens du port le dit : " Qui commande le port, commande la Guadeloupe". Les dockers en savaient quelque chose lorsqu'ils chosissaient des moments importants du calendrier pour présenter leurs revendications sociales. La bataille larvée entre les politiques et les socio-professionnels, avec des camps mobiles de part et d'autres, est là pour le rappeler : Le port est l'un des principaux atouts économiques et stratégiques de la Guadeloupe, il est l'entrée d'air du poumon économique de l'Archipel. Il ne peut donc qu'être au centre des intérêts des uns et des autres
D’autant que des voix s’élèvent dans le camp politique pour donner quitus à un socio-professionnel ; c’est le cas du maire de Pointe à Pitre Jacques Bangou, ou encore de la présidente du Conseil Départementale Josette Borel-Lincertin.
Du coup, l’Exécutif régional, qui ne veut pas avoir de mauvaises surprises, démarche, discute, négocie. En clair, il cherche à verrouiller l’affaire. Il tente même le passage en force.
Mais la candidature du maire de Basse Terre ne trouve pas pour l’heure une large adhésion, eu égard à ses démêlées judiciaires,
dans un scrutin qui s’annonce très serré ou l’élection peut se décider à une voix près. Selon nos sources, une rencontre pourrait se tenir demain entre la Région et les socio-professionnels, sans doute dans le but de trouver un accord qui pourrait satisfaire les deux parties. On le voit donc, les jeux sont encore ouverts.
Un atout économique et stratégique pour la Guadeloupe
Un adage propre aux gens du port le dit : " Qui commande le port, commande la Guadeloupe". Les dockers en savaient quelque chose lorsqu'ils chosissaient des moments importants du calendrier pour présenter leurs revendications sociales. La bataille larvée entre les politiques et les socio-professionnels, avec des camps mobiles de part et d'autres, est là pour le rappeler : Le port est l'un des principaux atouts économiques et stratégiques de la Guadeloupe, il est l'entrée d'air du poumon économique de l'Archipel. Il ne peut donc qu'être au centre des intérêts des uns et des autres